Confessions De Philippe 2


by Frenchspanker <Frenchspanker@HotMail.com>

Voici ma deuxième expérience de fessée. Deux ans avaient passé. Mon prof de natation était parti en Nouvelle Calédonie, de sorte que cela faisait un an que je ne m'excitait qu'avec les souvenirs de ses mémorables corrections. J'avais alors seize ans. Complètement obsédé par le _s_e_x_e, je ne cessai de fantasmer sur mes camarades ou certains professeurs. Évidemment le prof de gym me plaisait beaucoup. Et puis il y avait les douches, après les cours. Il n'était pas rare que certains garçons se donnent du plaisir au milieu des rires et des bulles de savon. Un jour, je fis une connerie : je volai discrètement, du moins je le croyais, quatre balles de tennis parmi celles qui étaient entreposées dans un grand panier métallique que le prof utilisait pour les exercices de base. Comme je jouais beaucoup au tennis, et que j'avais des petits problèmes de fric, je m'étais dit qu'après tout, sur le tas, çà ne se verrait pas. En plus, elles étaient déjà un eu usagées. Mais c'était sans compter avec ce petit salaud de Xavier, le chouchou du prof, capitaine de l'équipe du lycée, qui m'avait vu glisser ces balles dans mon sac. D'autres l'avaient vu aussi mais s'en foutaient. Lui, évidemment, s'empressa d'aller tout raconter. Je fus donc convoqué dans le bureau du prof. J'avouai mon larcin sans difficulté.

— Ah oui ? et tu crois que tu vas t'en sortir comme çà ? C'est bien gentil d'avouer, mais çà ne résout pas le problème. De toute façon on va en parler à tes parents, j'espère qu'ils sauront te corriger. Comment tu crois qu'on corrige les petits voleurs comme toi ? Hein ? tu sais pas ? Moi je vais te dire : à coup de latte sur le cul. Et c'est comme çà que je vais te corriger, si je te corrige. Çà serait plus discret, évidemment. Mais si tu préfères, je te répète que j'peux appeler ton père, ajouta-t-il en ouvrant son classeur. Je vis apparaître la fiche que j'avais remplie au début de l'année, avec le numéro de téléphone de mes parents. J' l'appelle maintenant, si tu veux.

— Non, non, j'préfère pas, dis-je en bredouillant. Je sentais qu'il fallait me décider rapidement, mais tout me semblait confus, j'avais du mal à imaginer réellement ce qui allait se passer dans le cas de la correction " discrète ".

- ...

— Je...je préfère ...la...correction.

— C'est bien c'qui m'semblait.

Il retira ses pieds de la chaise sur laquelle il s'appuyait et me dit :

— Viens te mettre à genoux ici.

Je me mis donc dans la posture qu'il voulait, agenouillé sur la chaise, le ventre contre le dossier.

— Enlève çà.

Mon T-shirt tomba à côté de la chaise. Je sentais que la situation était anormale, mais je n'avais pas le choix.

— Cul nu, s'il te plaît.

Là, je dus devenir rouge comme une pivoine car il me dit :

— Tu n'vas quand même pas m'dire que ton père t'a jamais donné une déculottée !

Devant mon signe de dénégation, il s'exclama

— Ah ! eh bien, je commence à comprendre pourquoi tu fais chier le monde comme çà; On t'a jamais dressé, quoi !

Je ne pouvais pas être d'accord avec cette version, car mon père me paraisssait très strict, mais je ne discutai pas. Je ne voulais pas lui parler, évidemment de ce qui s'était passé deux ans auparavant à la piscine.

— Eh bien, il y a un commencement à tout, fit-il en s'emparant de la latte qui était posée sur son bureau. Allez ! mets-moi ce p'tit cul mal éduqué à l'air, çà va lui faire du bien.

Finalement, je m'exécutai. Slip et short sur les genoux, les mains serrées sur le dossier, j'attendis les coups. Un moment plus tard, je commençai à geindre, les fesses en feu. Il n'arrêtait pas. Jusque là, il était resté assis sur son bureau. Mais je fis un mouvement involontaire, sous l'effet de la douleur, qui me fit tomber en avant. Immédiatement il me rattrapa en me prenant à bras le corps et, profitant de cette nouvelle situation, se mit à me frapper à main nue, en me coinçant, accroupi, sous son bras. Mon short coula sur mes chevilles. D'un mouvement brusque, il fit tout sauter ; je me retrouvai entièrement nu entre ses mains. Et ces mains-là étaient pesantes. Elles s'abattaient de toute leur force sur mes fesses, les malaxaient pendant un moment, puis frappaient à nouveau. Je me sentais comme un objet en son pouvoir. De plus en plus, quand sa main s'arrêtait sur mon cul, il m'ouvrait la raie. C'est cela qui déclancha une réaction que je n'attendais pas : je commençai à bander. Complètement humilié, je m'abandonnai à un plaisir nouveau, une chaleur qui se répandait depuis mes reins jusqu'à mon entrejambe, mes couilles, ma queue. Je suffoquais de douleur et de jouissance à la fois.

Il s'en aperçut.

— Eh bien mon salaud.

Il me redressa et contempla mon érection. Je crois que je n'avais jamais encore bandé aussi fort. Il reprit sa latte et se mit à donner à jouer avec mon _s_e_x_e vibrant, qui se redressait toujours sous la pression. Il se rassit sur le bureau, me fit mettre de côté entre ses jambes et recommença à me donner des coups de latte sur les fesses. Je gémissais, plutôt de plaisir. Pendant qu'il me frappait, il observait mon _s_e_x_e. J'éjaculai sans me toucher.

— Allez fous le camp, je m'occuperai de ton cas plus tard.

Je ne demandai pas mon reste, mais je demeurai très étonné de sa réaction, ou plutôt de son absence de réaction. Je ne soufflai mot à personne de cette affaire et me comportai ensuite le mieux que je pouvais au cours de gymnastique.

Deux semaines plus tard, il me chargea de ranger le matériel après la séance. Quand j'arrivai dans les vestiaires, tout le monde était déjà parti. Je me douchai rapidement et, au moment où j'enfilais mon slip, je l'entendis m'appeler. Il avait dû m'observer pendant que je me changeais.

— Alors, on se comporte mieux, maintenant ,hein ? me dit-il avec un air moqueur. Cà pourrait presque mériter une récompense, çà, ajouta-t-il. Et sans que j'aie eu le temps de répondre, il glissa sa main dans mon slip et me tripota le cul. J'eus aussitôt une érection. Un petite fessée, reprit-il, çà te plairait, non ?

Comme je ne disais rien, mais que mes réactions étaient évidentes, il m'attira dans son bureau, ferma la porte, s'assit sur un banc, me prit sur ses genoux, me baissa mon slip et commença à m'administrer une fessée magistrale qui me mit dans tous mes états, d'autant plus que je sentais que son ton était différent, plus doux. Je commençai en fait à aimer cette situation, et à retrouver mes sentiments initiaux pour mon athlète favori. Ce jour-là il était lui-même en short et je sentais sur mon ventre ses cuisses musclées et velues.

Quand il m'eut bien échauffé il me posa des questions.

— Alors comme çà tu aimes les fessées ? Un vrai petit vicieux. Tes parents savent çà ? Et tes copains ? Cà pourrait être marrant avec des copains non ?

Et pendant qu'il me parlait de cette manière, il me tapotait plutôt gentiment mes fesses déjà bien rouges. Il me renversa sur le bureau et commença à inspecter tout mon corps. Moi, je fondais entre ses mains puissantes et chaudes. Ses caresses devinrent plus insinuantes, il massa un peu ma queue, puis me fit relever les jambes. Ses doigts glissèrent, s'insinuèrent, et je sentis tout à coup que je m'abandonnais complètement, et que toutes mes sensations se concentraient maintenant entre mes fesses. Je haletais, je geignais, je râlais, et quand je sentis un doigt pénétrer, j'eus à nouveau une éjaculation involontaire.

— Eh ben, dis-donc, t'es sensible de ce côté-là, toi, hein ? Tu aimes les hommes ? — Comme je ne répondais rien, il continua

— C'est l'impression que j'ai, en tout cas. Tu as déjà vu un homme éjaculer ?

— Non (menteur !)

— T'as envie de voir ?

Je baissai les yeux sur son short déformé par une bosse énorme. Il sortit sa queue chaude et vibrante, et commença à se masturber devant moi, qui demeurai les yeux fixés sur ce _s_e_x_e, sur ce gland lisse et violet qui bientôt fut sur le point d'exploser. C'est alors qu'en un instant il se débarrassa de son short et sauta sur le bureau pour se mettre à califourchon sur moi. Il posa son _s_e_x_e énorme sur mon ventre et le fit glisser sur le sperme que j'avais répandu. Je sentais ses cuisses musclées serrer mes flancs, et cette queue dure qui passsait et repassait sur mon ventre.

— Prends la. C'est çà. Branle-moi. Bien, comme çà, décalotte-moi complètement, ah, oui, c'est bon.

Dans un râle il éjacula sur moi. C'était chaud et abondant.

Quelques instants plus tard, nous étions sous la douche. Il me demanda si je pouvais aller chez lui le samedi suivant. Je répondis que oui et, pendant trois jours, je ne cessai de penser à ce qui allait se passer. Je bandais souvent en m'imaginant des choses.

Le samedi suivant, quand je sortis de chez lui, je connaissais déjà à peu près tout sur le _s_e_x_e entre hommes. J'avais senti en moi la virilité de mon athlète favori, et les semaines qui suivirent, j'eus l'occasion d'éprouver plusieurs fois cette sensation formidable. Les fessées continuaient aussi, car j'aimais çà.


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