14 Juillet Suite


by Chris <Fessee2@yahoo.com>

On est resté sur la plage, Thomas et moi, pendant près de quatre heures à discuter de tout et de rien. On avait presque fini par oublier ce qui s'était passé auparavant. Vers 23 heures, alors qu'il commençait à faire vraiment froid, on décide de rentrer chez nous. Évidemment, on passe devant la cabine brûlée et prenons une nouvelle fois la mesure de notre bêtise. Je quitte Thomas devant chez moi en lui disant à demain. J'ai un peu mal au ventre. Pas seulement parce que je n'ai pas mangé mais aussi parce que j'ai peur de subir de nouveau la suite de la punition. Cela sera moins humiliant maintenant qu'il n'y a plus de spectateurs mais la rébellion risque de me valoir une punition plus corsée. Il y a de la lumière dans le salon, j'ai l'impression que tout le monde regarde la télé.

De toute façon, il faudra bien que je rentre un jour. Je tourne la poignée de l'entrée, rentre le plus discrètement possible, passe devant le canapé sur lequel sont assis mes parents : " bonne nuit ". Je prends la direction du couloir et monte les marches jusque dans ma chambre. J'attends un peu dans ma chambre avant de me mettre au lit car j'imagine que mon père va débouler pour finir ce qui ne l'a pas été il y a quelques heures. Les minutes passent lentement. Il fait durer le plaisir, on dirait. J'écoute tous les bruits en guettant un indice. Je suis sûr qu'il ne va pas tarder à passer la porte, le martinet dans la main. La télé est éteinte depuis vingt minutes, rien ne se passe. Je décide de me coucher. Finalement, ils se sont peut-être rendu compte que cela avait été trop loin.

Vers 9h, je me lève, j'ai toujours les fesses un peu douloureuses de la punition d'hier. Je passe un survet et un tee-shirt et me dirige dans la salle à manger. Mon frère est déjà assis. Le silence est pesant. Je m'installe à côté de lui. Mon père surgit, je croise son regard. J'ai l'impression que la colère n'est pas passée. La sonnette du portail retentit. Machinalement, je me retourne et découvre deux policiers approchent de la maison. Ils me regardent puis se tourne vers mon père : " Vous êtes bien Monsieur Hunter ? Nous sommes venus arrêter votre fils Christophe pour vandalisme sur la voie publique et le bien de l'état. Je crois que vous êtes au courant ? ". Mon père me regarde maintenant, fier de gagner la deuxième manche : " Oui, messieurs, le garçon en question est ici. Vous pouvez l'emmener ".

Le sol s'ouvre sous mes pieds. Mais qu'est ce que c'est que ce bordel ? comment revenir en arrière ? ce n'est pas possible que les choses m'échappent autant. Pourtant si, un policier s'approche de moi, semble chercher quelque chose dans son dos. Il approche une paire de menotte métallique : " Mes tes chaussures ". Je me lève et me dirige vers ma chambre, je passe mes baskets et reviens vers la salle à manger. Le policier aux menottes s'approche de moi : "tends- moi tes mains, petit ". J'avance mes bras en avant et entends le son des bracelets qui se referment. Puis le deuxième parle à mon père trop doucement pour que je puisse entendre. Je traverse le jardin accompagné des deux gars qui me tiennent chacun un bras. Arrivé à la voiture, je découvre que Thomas est assis à l'arrière du véhicule. On m'ouvre la porte et je me retrouve dans la même position que lui.

Thomas m'explique que son père n'a pas trop apprécié notre numéro d'hier et comme on était soi-disant trop grand pour être puni par nos parents, on n'était pas trop jeune pour assumer nos conneries. Son père avait appelé ce matin un de ses amis bien placés de la police pour l'aider à nous faire comprendre que nos actes avaient des conséquences. Après ces explications, nous sommes arrivés au commissariat. Les deux policiers nous ouvrent les portes et nous tirent vers l'extérieur de la voiture. On traverse tous les quatre la cour et pénétrons dans le commissariat. L'humiliation est forte lorsque je croise le regard des personnes qui se trouve sur notre chemin. Je regarde maintenant seulement mes pieds.

Nous entrons dans un bureau dans lequel se trouve un homme assez fort : " alors voici, les deux délinquants en questions. De la racaille qui s'amuse à faire brûler des cabines téléphoniques. C'est fait pour ca les cabines tout le monde le sait. Thomas, ton père a été gentil de me prévenir et de t'éviter, ainsi qu'à ton pote, que je vous ouvre un casier judiciaire. Mais en revanche nous pensons tous que vous méritez une sanction. J'ai attentivement regardé les textes et je suis arrivé à la conclusion que vous auriez écopée d'une peine d'un mois de prison avec sursis. Mais manque de pot, vous n'aurez pas de sursis cette fois, vous passerez la fin de vos vacances à la prison pour mineurs. Messieurs, j'en ai fini avec eux, vous pouvez les conduire à Trappes ".

La sanction était tombée. On savait maintenant à quoi s'en tenir. Le reste des vacances était gâché, mais, bon, la spirale des ennuis venait de s'arrêter. La sanction ne me semblait pas si injuste que cela, en tout cas elle semblait moins douloureuse et humiliante que la séance au martinet. Dans la voiture, Thomas et moi ne parlons pas. Je me demande comment on n'occupe ses journées en prison, est-ce qu'on fait du sport, est-ce qu'il y a la télé....La voiture ralentie devant une grande porte qui s'ouvre à notre arrivée. On nous aide à descendre de la caisse et nous pénétrons dans un bâtiment bien gardé. On commence par nous enlever les menottes, nous fouiller face au mur, jambes écartées, puis prendre nos empreintes, et enfin faire des photos. Nous marchons ensuite dans une foule de couloirs et traversons une multitude de portes verrouillées. Je me sens encore en sécurité avec mon pote à mes cotés.

Nous arrivons enfin dans un couloir dans lequel est alignée toute une série de portes. Un gardien en ouvre une et le policier qui m'accompagne me pousse à l'intérieur. La porte se ferme lourdement derrière moi, le bruit des clés qu'on tourne me fait prendre compte de la réalité. Je suis dans une cellule, prisonnier. Un coup d'œil rapide à la pièce : un petit lavabo, un chiotte, un placard, un table, des posters de cul aux murs et un lit superposé. Sur le lit du haut, un mec un peu plus âgé que moi est allongé en survet torse nu, un livre de cul à la main : " salut, t'es nouveau ? moi je m'appelle Arnaud et toi ? ". Je m'appuie contre la table pour être face à lui : " Je m'appelle Christophe ". Il se redresse et s'assieds sur le bord de son lit : " t'as fait quoi pour être ici ? Moi, je suis fait chopé pour la troisième fois en train de dealer de la dope. J'en ai encore pour deux mois ". Je me sens vraiment différent de ce mec " J'ai fait brûler une cabine téléphonique avec un pote et on s'est fait coincé. Je suis la jusqu'à la fin des vacances ".

Il saute de son lit, s'approche de moi et me pose le bras autour du cou : " Putain, ils ont été hard dès le début. Les casseurs, ils aiment pas beaucoup ". On continue à discuter, j'apprends qu'il a 17 ans, qu'il vit à Nanterre, qu'on se fait chier en tôle mais bon que c'est pas trop crevant. On fait du sport, on fume. Je m'assieds sur mon lit (celui du bas). Il vient m'y rejoindre : " Non, le problème ici, c'est qu'il y a pas de fille, alors on passe son temps à s'astiquer ". Il pose sa main sur son survet à l'emplacement de sa queue et attrape son paquet : " Et puis ici, il te faut un protecteur si tu veux éviter les ennuis ". Je commence à comprendre ou il veut en venir quand il pose sa main sur mon propre survet à l'emplacement de ma teub qu'il commence à masser. Je me laisse faire ce n'est pas désagréable. Au bout de quelques minutes de ce petit jeu, j'ai la carrément la trique. Lui aussi d'ailleurs le tissu de son survet est déformé par une belle bosse. Il glisse sa main sous l'élastique de mon survet et de mon boxer et atteints ma bite. Le contact de cette main nouvelle est très excitant. Il me branle doucement à l'intérieur du survet.

Lui avec son autre main a dégagé la teub de son survet, c'était pas trop dur, il était à poil en dessous. Sa queue est raide, assez longue, le gland décalotté. Il me pousse la main droite vers son engin : " branle moi un peu ". J'entoure mes doigts autour de sa queue et commence un mouvement de vas et viens. Je le masturbe doucement. Il semble apprécier. Il enlève sa main de mon survet, en profite pour baisser un peu son survet de manière à bien dégager sa bite et ses couilles. Sa teub me paraît très longue maintenant que je la découvre en entier, entouré de poils bruns. Puis il croise ses bras en arrière et s'allonge sur le dos. Je suis maintenant en train de le branler, un peu déçu qu'il ne s'occupe plus de ma bite. J'accélère le mouvement comme pour en finir. Il se redresse et me file une petite claque derrière la tête : " moins vite, tu vas l'abîmer ". J'enlève ma main et me lève du lit : " Bon on arrête. OK ? ".

Il se relève aussi et, debout la queue raide, s'approche très prés de mon visage : " je crois que t'as pas bien compris. Tu fais ce que je te dis ". Je me recule, mais il m'attrape au niveau du coup en serrant fort " Mets toi à genoux. On va passer aux choses sérieuses ". J'ai mal et ne peut faire autrement que de me laisser tomber sur les genoux, mon visage en face de son _s_e_x_e toujours en érection. Il relâche sa prise : " Tu fais ce que je te dis sinon, tu vas dérouiller. Allez, ouvre la bouche et suce- moi, petit gars ". Je lève ma tête vers lui : " S'il te plait. Je peux pas. J'ai jamais....". Une grande claque me tombe sur la joue gauche, je tombe sur le coté. Il m'envoie un coup de pied : " Magne toi, j'hésiterai pas à te frapper plus fort ". Je me redresse sur mes genoux, je regarde maintenant cette tige un peu moins raide, ce gland toujours décalotté et ses couilles qui pendent en dehors du survet.

J'approche ma main droite et commence à le branler à nouveau. Il retrouve rapidement la gaule : " allez suce- moi. Montre- moi que tu es une vrai lope ". Je lui jette un œil puis j'ouvre la bouche et commence par tirer ma langue. Elle parcours sa teub et son gland, je n'ose pas mettre sa bite dans ma bouche. Mais il pousse ma tête vers sa tige, je n'ai pas d'autre choix que de l'avaler et de la sucer. Il pousse ma tête dans un mouvement régulier pour bien faire pénétrer sa bite. J'avale une grande longueur de son pénis. Quand je lève les yeux, je vois qu'il me regarde attentivement : " Branle toi. Je veux te voir te branler. Tu vas juter aussi ". Avec ma main droite, je baisse mon survet et mon boxer pour libérer ma queue. Je ne bande plus. Je commence à me branler et la trique reviens assez rapidement.

De son coté, je sens qu'il ralentit un peu le mouvement. Mais d'un coup, il se raidit, il lâche un " ahhhh " profond. J'enlève ma bouche de sa queue car je devine ce qui se prépare. Mais trop tard, une giclée de son sperme atterrit sur mon visage. Je m'écarte un peu, mais il attrape sa queue et dirige les autres rasades de sa purée vers ma tête. Je suis couvert de sa jute chaude. Il frotte sa teub sur mon visage pour étaler la sauce et reprendre son souffle. J'ai arrêté de me branler. Il s'en aperçoit : " relève toi et allonge-toi sur ton pied ". Je m'exécute de peur de recevoir d'autres coups. Il s'assieds à coté de moi et commence à me branler lui-même : " Je t'ai dit que tu allais juter aussi ". Je me laisse faire c'est bon car il s'applique : d'une main, il me branle de l'autre, il caresse mes couilles. Bien sûr, au bout de quelques minutes, j'éjacule aussi. Il continue de me branler, ça chatouille. Ma semence s'étale sur mon tee-shirt. Je me sens un peu honteux et surtout sale.

Il donne une petite claque à ma queue encore raide : " allez va te laver le visage et te changer tes trop crad ". Il se lève et saute sur son lit pour se rallonger. Je m'approche du lavabo et me nettoie le visage. Il me regarde de la haut : " Tu t'y prends très bien. Inutile de te dire qu'on recommencera bientôt, peut-être avec des variantes. Si quelqu'un te fait chier, je m'en occupe ". Puis il se retourne vers le mur : " je vais roupiller un peu. Il y a des revues dans le placard si tu veux te rebranler. Te gène pas pour moi. On se connaît bien maintenant tous les deux, pas vrais ? ". Je retourne m'allonger dans mon lit. Je me pose tout un tas de questions. Thomas a-t-il eu droit au même scénario de bienvenu ? Est ce que je dois lui raconter ? Est-ce que cela va être comme cela pendant près d'un mois ? que veut-il dire par variantes ?

À suivre..... Vos commentaires et suggestions pour le prochain épisode sont les bienvenus Fessee2@yahoo. com


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