Fast Food


by Chris <Fessee2@yahoo.com>

En classe de troisième, tous les élèves doivent faire un stage en entreprise à la fin de l'année scolaire. C'est donc à l'age de 14 ans que j'ai cherché mon premier job. Ne bénéficiant pas de piston, je me suis retrouvé dans un fast-food du genre Mac Do. Je me présente le premier jour au manager du restaurant et je fais ta connaissance. Derrière ton petit bureau, tu as l'air d'un jeune mec, exigeant mais aussi sympa. Tu me racontes ton parcours : tu as 24 ans, tu es entré comme caissier il y a 4 ans et maintenant tu es responsable de la boutique. Tu me communiques mes horaires (tous les jours après les cours et le mercredi après-midi de 14h à 19h). Tu me présentes ensuite le reste de l'équipe, tu me montres les vestiaires où je dois me changer en arrivant, tu en profites pour me donner ma tenue composée d'un polo vert et d'un jean noir. Tu m'expliques mon travail qui consiste à nettoyer le sol aussi régulièrement que possible et tu insistes sur les toilettes qui doivent être niquel.

Le lundi et le mardi soir, après les cours, je me pointe au fast-food, me change dans le vestiaire et, munis de mon balai et de mon seau, je nettoie tous les recoins de ce foutu restaurant. Ce travail me fait chier à mourir mais c'est obligatoire et vu mon carnet de note, j'ai besoin de bons commentaires pour passer dans la classe supérieure. Tu me fais régulièrement des remarques et j'ai l'impression que tu as décidé de ne pas me lâcher, tu es constamment sur mon dos pour vérifier que je bosse. C'est le mercredi après-midi que les choses se gâtent. Des copains se pointent dans le fast-food, commandent leurs burgers et me découvrent le balai à la main. Les mecs se marrent, se foutent de ma gueule. Je m'approche d'eux : " Vous avez un problème ? ". Et un des mecs qui est dans ma classe me jauge des pieds à la tête : " Et on doit faire des études pour manier la serpillière ? ". Je me baisse pour attraper le torchon humide et lui balance à travers la gueule.

C'est à ce moment-là que tu interviens, consterné par mon attitude : " Messieurs, veuillez excuser mon collaborateur, c'est un gamin qui débute ". Puis se tournant vers moi : " Présente immédiatement tes excuses ! ". Conscient que j'ai un peu dépassé les bornes et pour éviter que tu balances auprès de mes profs, je baisse la tête et annonce " Je suis désolé. Je regrette. J'espère que vous voudrez bien m'excuser ". Les mecs se marrent à nouveau et le gars qui a reçu le chiffon trempé acquiesce de la tête : " Ouais, c'est bon pour cette fois. Il peut retourner à son boulot ". Tu a toujours l'air furieux, mais l'affaire est close : " Va nettoyer les toilettes et que ca brille ". Je ramasse ma serpillière et pénètre dans les chiottes. Je nettoie avec nervosité car cette humiliation a été rude et que je sais que cette histoire va me coller à la peau quelque temps.

Le mec qui avait reçu le torchon humide sur la tête entre quelques minutes plus tard dans les toilettes. Il me regarde en se dirigeant vers les pissotières. Il dégrafe son jean, je devine qu'il sort sa teub mais au lieu de pisser dans l'urinoir, il balance son jet contre le mur. Il tourne sa tête vers moi et me fait un large sourire. Je suis furax, mais ce coup-ci je résiste à la tentation de lui mettre mon poing sur la gueule. Pourtant la tentation est grande quand je vois ce blondinet se retourner face à moi tout en continuant à pisser sur le sol. Ses yeux bleus sont plantés dans mon propre regard même si j'en profite pour mater au passage sa teub décalottée. Il la rentre, referme ses boutons et, sans rien dire, sorts des toilettes. Je n'ai pas d'autre choix que nettoyer la pisse que cet enfoiré a répandue sur le sol.

C'est furieux que je retourne dans le petit vestiaire ou j'ai décidé de passer quelques minutes pour me calmer. En regardant dans la pièce, je tombe sur un ancien présentoir " l'employé du mois " avec ta photo dessus. J'enlève la photo et la porte au niveau de ma braguette : " Alors, ca te plait de m'humilier ? Tu peux sourire, tu feras moins le malin quand tu auras ma bite dans la bouche. Vas y colle ta bouche contre le tissu. Fais- moi durcir le bout. Allez, fais des efforts, je suis sûr que tu peux mieux faire. Ouais, c'est très bon, continues. Tu es un vrai pervers ". Tout en disant cela, je passe et frotte la photo sur mon jean et au bout de quelques minutes je commence à avoir la gaule. Je m'approche de la porte et pose le balai et le sceau derrière elle afin de faire du bruit si quelqu'un venait à arriver. J'avais été très excité à la vue de ce jeune mec la queue à la main en train de pisser par terre et j'avais vraiment envie de me branler. J'ai recommencé avec la photo : " Maintenant qu'elle est bien raide, je vais sortir ma tige de mon jean et je vais te la frotter contre le visage ". Je joins le geste à la parole et baisse la fermeture éclair de mon pantalon, baisse l'élastique de mon boxer-short et extirpe ma bite bandée : " Tu es impressionné, hein ?. Je suis pas mal monté pour un mec de 14ans. Je l'ai mesuré avec des potes, elle fait 14 centimètres. Tu aimes quand je frotte mon gland sur ta joue ? ". Je ferme les yeux et t'imagine en train de me branler alors qu'en réalité j'ai commencé un mouvement de branlette moi-même : " Vas-y branle moi. N'ai pas peur. Tu approches ta main, tu entoures tes doigts autour de ma tige et tu fais un lent mouvement de va et vient. C'est bon, continu. Tu es un vrai champion dis-moi. Ouais, tu peux caresser les couilles aussi. Tire bien sur la peau pour décalotter mon gland mais pas trop fort ". Je sens que ca commence à venir : " Vas y accélère. J'ai envie de cracher ma purée sur ta gueule. Je t'ai dit d'aller plus vite mais pas de me faire mal, fais gaffe à ce que tu fais. Ouais, la c'est mieux. Je sens que ca vient. Ahhhhhhhh ". Trois, quatre jets blancs tombent sur la photo puis dégoulinent sur le sol. J'ai plein de sperme sur la main : " C'est bien, t'a été un bon petit gars. Tu t'y prends très bien. On auras l'occasion de recommencer ça tous les deux. Tu peux retourner bosser. Mais ne t'avise plus à me faire chier. Sinon.... ". Je glisse ma teub encore humide dans mon caleçon et remonte mon jean. Avec mon pied, j'étale la jute par terre et me frotte les mains sur mon jean.

Je retourne plus détendu dans le restaurant. Mais mon énervement revient lorsque je te croise dans les cuisines et que tu me demandes sur un ton sec de venir dans ton bureau. Il y a une petite télé " noir et blanc " sur le bureau qui comme je le savais permet de filmer et d'enregistrer ce qui se passe dans la salle du fast food et derrière les caisses. Tu t'assieds derrière le bureau et appuis sur le bouton d'un des scopes. À l'écran, on me découvre de face, debout la queue à l'air, la photo à la main. Le son est parfait : " Tu aimes quand je frotte mon gland sur ta joue ? ". Je suis comme un con, je me suis fait avoir comme un débutant. Je n'aurais jamais imaginé qu'une caméra soit planquée dans les vestiaires. Mais depuis, une histoire de vol entre employés, cette partie du restaurant est aussi surveillée. Tu arrêtes le film : " Ca sera mieux sur une télé en couleur. Je pense que ton prof va apprécier le spectacle. Ou mieux, ton père quand je lui aurai donné la cassette et que je lui dirai que tu es viré.. J'espère qu'il te filera la raclée que tu mérites ". Je regarde par terre et murmure : " Ca, c'est sûr, je vais dérouiller ". Tu as entendu et tu saisis la balle au bond : " ah oui, et qu'est ce que tu risques ? ". Je te regarde l'air un peu embêté : " Il va se défouler sur mes fesses avec son jouet favori : un martinet aux lanières usées. Et puis, comme en plus, tu me vires, je vais sûrement redoubler et je vais m'en prendre une autre du même calibre dans deux semaines ". Je me retiens de pleurer, je suis plutôt résigné parce que je me doutais que tu ne m'aimais pas et que tu voulais de toute façon en arriver là. Tu croises tes mains derrière ta tête et te penches en arrière : " Il faudrait peut-être que je te donne une chance et que je garde cette cassette pour moi. Mais, comme tu t'es comporté comme un gamin, je crois que tu mérites toute de même une bonne fessée. Alors, si tu ne veux pas que ce soit ton père qui te corrige, il faudra que ce soit moi ! Maintenant, la balle est dans ton camps ".

La situation prend une tournure différente, j'ai la possibilité d'éviter pas mal d'ennuis et de me sortir d'un très mauvais plan. Je m'approche de toi et commence à défaire mon jean : " Vas y, mais pas trop fort quand même ". Tu te lèves : " Non, je crois que tu m'as mal compris. Je vais t'administrer une vraie raclée, du même genre de celles de ton père. Ça va sûrement faire du bruit alors on va faire ca chez moi. Tu peux encore changé d'avis. Mais si tu acceptes, tu n'as rien à dire, juste à subir comme avec ton paternel. C'est bien clair ? ". Je baisse la tête pour répondre : " Oui ". Tu sors du bureau, je te suis dans le vestiaire pour changer nos polos et prendre nos affaires personnelles. En passant devant les caisses, tu indiques aux autres " Christophe ne se sent pas bien, je le ramène chez lui. À demain".

Nous montons dans ta voiture dans le parking et roulons sans échanger un mot. Tu t'arrêtes et te gares en plein centre ville : " Je n'ai pas de martinet, on va en acheter un ". Je pénètre derrière toi dans une droguerie, bien achalandée de balais, paniers, produits d'entretiens....Tu jettes un œil inquisiteur un peu partout. Un vendeur assez âgé en blouse blanche se teint derrière la caisse : " Bonjour Monsieur, je peux vous aider ? ". Pas intimidé, tu le regardes et lui dit " Oui, sans doute, je cherche un martinet ". Puis en me regardant : " vous savez du genre de ceux qu'on utilise pour punir des garçons désobéissants ". Le vendeur sort de derrière la caisse, attrape une perche et la tend vers le plafond : " Oui, je dois avoir ce que vous voulez. C'est un produit qui ne se vend pas si mal ". Dans la direction de la perche, je découvre une grappe de lanières et de manches, que le vendeur descends du plafond et apporte à ta hauteur : " Vous voulez lequel ? ". Tu tâtes les lanières comme pour en soupeser le poids. Je suis très humilié car entre temps un autre homme d'une trentaine d'années est entré dans le magasin et nous regarde d'un air très amusé. Le vendeur pose l'ensemble des instruments sur une table : " Je sers ce monsieur et vous laisse choisir ". Tu désignes un martinet avec une douzaine de lanières de cuir noir : " J'aime bien celui-là. Je pense qu'il doit pas mal claquer ". Tu le détaches de la grappe et attrape fermement son manche puis tu balances les lanières dans l'air pour les faire siffler : " Oui, on prend celui-là ". Comme je suis devant toi pour aller vers la caisse, tu en profites pour me balancer les lanières sur les fesses : " Tu commences à flipper, hein ? Et bien tu peux parce que tu as fait est dégoûtant ". Tu t'adresses au caissier : " Je pense que celui-ci fera l'affaire ". Le caissier indique : " 22 francs, s'il vous plait. Vous voulez que je le mette dans un sac ". Tu me donnes le martinet : " Non, ce n'est pas la peine, on ne va pas très loin. Au revoir Monsieur ". Je marche à coté de toi jusqu'à la voiture, le martinet dans la main que j'essaye de dissimuler le plus possible de la vue des passants, sans grand succès à en croire les regards qu'on me porte. Nous remontons enfin dans la voiture et sans un mot roulons jusqu'a chez toi. Nous montons dans ton appartement.

Arrivé dans ton appartement, tu reprends un ton autoritaire : " Tu enlèves ton tee-shirt et tu baisses ton fut en vitesse ". Je m'exécute puisque de toute façon je suis là pour ça. Tu places une chaise au milieu de pièce et tu t'assieds : " Allez, bonhomme, on commence ". Je m'approche doucement, gêné par mon jean aux chevilles, mais tu accélères le mouvement en me tirant le bras et en m'obligeant à m'allonger sur tes genoux : " c'est la meilleure position pour fesser un gamin ". Vlan une première claque sèche tombe sur mes fesses encore protégées par mon boxer-short. Les claques tombent régulièrement. La douleur commence à se faire sentir. Je ne peux me protéger avec mes mains car je suis tellement penché en avant qu'elles me servent à tenir la position. Elles sont posées contre le sol. En revanche, je bouge pas mal mes jambes : " Calme toi un peu, ou je tape plus fort ". Vlan, un coup plus violent s'abats soudain. J'ai compris et encaisse son trop bouger. En revanche, je lâche régulièrement des " ahh ", " aie " pour te rappeler que c'est douloureux et obtenir un peu de répits. Je ne compte pas les claques, mais je dois bien en avoir reçu une bonne centaine. Tu glisses ta main par le coté du caleçon et tu en profites pour caresser mon cul doucement.

J'ai vraiment le sentiment que tu prends ton pied : " Relèves toi qu'on essaye ce nouveau martinet ". Je me redresse, toi aussi et tu me pousses dans le dos : " marche vers la table ". Tu te tiens face à moi : " Désolé bonhomme, mais une vraie trempe est toujours donnée cul nu ". Tu te baisses et tire sur l'élastique de mon caleçon : " elle a l'air moins fière que sur la vidéo. Allez, penche toi contre la table, écarte les jambes ". C'est vrai que je ne bande pas du tout. Je me place comme tu m'as indiqué, mon ventre est contre la table. Tu passes devant moi avec la cassette du fast food : " Tiens on va se repasser ces images pendant ta fessée. Comme cela tu comprendras mieux pourquoi tu te retrouves dans cette position. Je te fouetterai durant toute ta branlette ". Tu appuies sur " play " et te place derrière moi, le manche du martinet dans la main. A l'apparition de l'image où je frotte ta photo sur mon jean, je reçois le premier coup de martinet. La douleur est instantanée car les lanières ont frappé un peu partout. Tu ne frappes pas trop fort mais très régulièrement. Par moments, quand ce qu'on entend à la télé est trop insultant pour toi, tu n'hésites pas à frapper plus fort. Je me retiens d'approcher mes mains qui tiennent le rebord de la table et m'aide à tenir la position. J'ai réellement mal mais j'essaye de ne pas trop le montrer pour te prouver mon endurance. À la télé, on entend " Je suis pas mal monté pour un mec de 14ans ". À ma grande surprise, tu glisses ta main entre mes jambes et me touche le _s_e_x_e : " Ouais, tu as raison, t'es un vrai mec. Mais je la trouve bien molle comparée à celle sur l'écran. Redresse toi ". Je m'exécute et la télé continue : " Vas-y branle-moi. N'ai pas peur. Tu approches ta main, tu entoures tes doigts autour de ma tige et tu fais un lent mouvement de va et vient. C'est bon, continu. Tu es un vrai champion dis-moi. Ouais, tu peux caresser les couilles aussi. Tire bien sur la peau pour décalotter mon gland mais pas trop fort ". Je suis toujours penché contre la table, tu as le martinet dans la main gauche et ma bite qui commence à durcir dans la main droite. Tu fais exactement ce que je te demandai virtuellement de faire dans la vidéo. Je constate que tu as une trique d'acier dans ton jean car je distingue une belle bosse. Pour être plus à l'aise tu glisses le manche du martinet dans ton pantalon. Avec cette main libre, tu en profites pour me caresser les couilles. Te voir ainsi en face de moi, en train de me branler, les lanières du martinet qui frôlent en permanence cette bosse dans ton jean derrière laquelle j'imagine une bite bien raide, m'excite un maximum. Je répète la phrase qui sort de la télé " Je sens que ca vient. Ahhhhhhhh ". Des jets plus liquides qu'auparavant filent sur ton jean puis sur le sol. Tu me places ta main encore couverte de jute dans les cheveux : " C'est mieux en vrai, non ? . Tu as eu de la chance ce coup-ci mais j'espère que tu retiendras la leçon ". J'acquiesce de la tête, encore étonné de la tournure des événements qui viennent de se dérouler et un peu honteux d'avoir éjaculé devant toi. Tu attrapes le manche du martinet et le ranges dans un tiroir : " Rhabille toi et rentre chez toi. Je garde la cassette. Je te promets que je n'hésiterai pas à me resservir du martinet. Je vais te faire obéir, moi !. Demain, tu viens à 11h au restaurant ". Tu m'ouvres la porte de ton appartement, en fermant la porte derrière moi, je constate que tu as encore la gaule et que tu en profites pour te toucher à travers le tissu de ton pantalon. Je relève les yeux et croise ton regard qui semble dire : " Ce coup-ci, tu en as bien profité et je ne peux pas aller plus loin avec toi pour l'instant. Mais, la prochaine fois, tu vas aussi me donner un peu de plaisir ". Je rentre chez moi et, à cette perspective, je recommence à avoir la trique.... vos commentaires : fessee2@yahoo. com


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