Le Général Au Paradis 2 (French)


by Frenchspanker <Frenchspanker@hotmail.com>

Vernier entra dans le bureau du Général sans savoir exactement le motif de sa convocation. Une certaine appréhension lui tenaillait l'estomac, comme il arrivait toujours aux élèves de cette école militaire quand il fallait se rendre au bureau du Général. Tous le craignaient, car tous savaient que non seulement il dirigeait l'École d'une main de fer, mais qu'il y mettait aussi une perversité que tous connaissaient, sans toutefois jamais pouvoir prévoir quelle forme elle prendrait. Vernier – c'était le nom de l'élève – entra cependant sans grande crainte, car il ne voyait vraiment pas ce qu'on pouvait lui reprocher. Il en venait même à penser qu'il s'agissait peut-être de tout le contraire d'une réprimande : peut-être une décoration, ou au moins des félicitations, par exemple pour sa conduite lors des dernières manœuvres organisées dans la montagne la semaine précédente. Son groupe avait été classé premier dans la course d'orientation. D'ailleurs ses résultats étaient excellents dans tous les domaines. Il faisait partie des garçons auxquels on promettait un avenir brillant dans l'armée.

En entrant, il fut surpris de voir, du côté gauche du bureau, à l'opposé des grandes fenêtres qui donnaient sur la cour d'honneur de l'École, un écran et un appareil de projection. Au garde à vous au milieu de la pièce, il salua le Général, assis derrière son grand bureau, qui lui demanda immédiatement d'un ton sec :

﷓ Vernier, pensez-vous que votre conduite est irréprochable ?

Vernier ne répondit pas tout de suite, car s'il excluait bien évidemment de répondre par la négative, il hésitait toutefois à donner une réponse affirmative, qui lui sembla présomptueuse. Cependant la question lui fut à nouveau posée d'un ton qui n'admettait aucun délai. Il répondit donc :

﷓ Je fais tout ce que je peux pour avoir une conduite irréprochable, mon général.

Le Général sourit.

﷓ Est-ce à dire que, parfois, vous n'y parvenez pas ?

﷓ Je crois que jusqu'ici je n'ai rien fait que je puisse me reprocher, mon général.

﷓ Sûr ?

Vernier commençait à se sentir mal à l'aise : aurait-il commis une faute dans toutes les tâches qui lui incombaient ? Il passa en revue rapidement tout ce qu'il avait fait la semaine passée, garde de nuit, surveillance des munitions, inventaire des paquetages, pliage de parachute, et il ne voyait pas en quoi il aurait pu faillir. Soudain il pensa qu'il était peut-être l'objet d'une calomnie, car il savait que tous ses compagnons ne l'aimaient pas. Il avait un groupe d'amis inconditionnels, mais certains le détestaient, par jalousie essentiellement, bien que son comportement un peu hautain et très sûr de lui n'ait rien arrangé. La modestie n'était pas son fort, et ses origines aristocratiques, par sa mère, ne le prédisposaient pas à abandonner certaines attitudes qui irritaient beaucoup de garçons venant de milieux plus modestes. Il regarda fixement le Général, sans rien dire, d'un air interrogatif.

Alors le Général s'adressa à son aide de camp.

﷓ De Brenne, procédez.

L'aide de camp, sans dire un mot, mit en route l'appareil. C'était un film. Vernier put assez vite distinguer qu'il s'agissait d'une guérite, comme celles qu'il y a avait aux portes de l'École, ces maudites guérites où il fallait faire les gardes, debout, parfois dans le froid, et saluer impeccablement quand un gradé entrait ou sortait. Et puis, il y avait les gardes de nuit. Cà, c'était dur ! Vernier ne put pas penser bien longtemps à tout cela, car tout à coup il s'aperçut que la caméra avait filmé une relève. Un garçon, sans doute un élève, vu de dos, sortait de la guérite, et un autre entrait. Et cet autre, de face, parfaitement reconnaissable, c'était lui ! Le Général avait donc fait placer des caméras dans les guérites.... Quel monstre ! Mais.... mais alors, Vernier commença à être inquiet, car bien sûr, parfois, là-dedans, la nuit, dans la solitude, le froid, pour tromper l'ennui, on faisait des choses, et lui comme tout le monde. Ah merde, j'espère que c'est pas çà, se dit-il.

Il s'agissait bien d'une garde de nuit (on voyait la petite lanterne allumée). Le film lui parut très long, aussi long qu'une garde, monotone, ennuyeux. Il était debout, rien ne se passait. Mais ce qu'il redoutait arriva. Après 10 minutes de film ( et de garde....), on voyait parfaitement que Vernier se reculait un peu, s'appuyait sur le fond de la guérite, et.... ah ! horreur ! on le voyait défaire sa braguette et commencer à se branler à travers son slip blanc, puis sa grosse verge apparaissait à l'écran, bien visible, bien raide (il était très fier de son pieu), on pouvait voir qu'il utilisait sa propre salive pour faciliter le mouvement, puis on voyait qu'il baissait davantage son pantalon de treillis et son slip réglementaire, pour être plus à l'aise, qu'il écartait les jambes, qu'il se caressait aussi les testicules, et son gland gonflé, légèrement, pour faire durer le plaisir, puis qu'il se retournait vers le fond de la guérite, sans doute pour éjaculer. En effet, on ne voyait plus que ses fesses rondes, à moitié cachées par la veste de treillis, ses cuisses, son pantalon et son slip baissés, et tout cela s'agitait de plus en plus, jusqu'aux secousses finales. Fin du film.

Quand l'aide de camp rouvrit les rideaux, et que la grande lumière de ce bel après-midi d'été rentra à nouveau dans la pièce, Vernier eut la pire sensation de toute sa vie. Il était toujours au garde à vous, car le Général ne l'avait pas mis au repos pour la projection. Il fixa les yeux sur une ligne placée au-dessus du regard du Général, qu'il ne pouvait supporter. Il sentit ses jambes trembler, et une vague de sueur couvrir tout son corps. Sa tête bourdonnait. C'était la fin du monde, la fin de son monde, la fin de son règne, de sa gloire d'élève militaire modèle, toujours premier, toujours félicité, toujours décoré. Alors le Général commença à parler :

﷓ Vernier, ici on forme des hommes, pas des lavettes. Et ne pas pouvoir tenir 10 minutes seul dans une guérite sans se branler, franchementcela augure mal de votre courage militaire. Si vos sens sont aussi puissants sur vous, je ne crois pas que vous résisteriez longtemps à la peur dans une bataille, sans parler d'une séance de torture si vous tombiez aux mains de l'ennemi (le Général prononça les mots " séance de torture " sur un ton différent, en prenant son temps, comme si les sonorités de cette expression lui procuraient une soirte de jouisasance). Se branler est une faiblesse, Vernier, la mère de toutes les faiblesses ! Quand un homme ne sait pas résister à une envie de ce genre, on peut être à peu près sûr qu'il ne résistera à rien. Vernier, vous êtes brillant, et vous avez su montrer de l'habileté dans l'action, jusqu'ici. Mais ce que nous venons de voir est décevant, décevant et inquiétant pour l'avenir. Pas du point de vue moral, çà m'est bien égal, la morale, c'est pour les curés la morale, le _s_e_x_e c'est humain. Mais la masturbation, surtout comme çà lors d'une garde, c'est indigne d'un homme qui aspire à commander. On ne commande aux autres que si on sait commander à soi-même. Ce que je vois, c'est que vous avez encore tout à apprendre sur ce sujet.

Vernier ne pouvait pas s'empêcher d'admirer le discours du Général, la forme et le fond. C'était un homme qui parlait, un homme qui avait fait deux guerres, dont une dans des conditions très dures, une guerre où précisément il fallait savoir " résister ", car l'ennemi était prêt à tout pour vous faire parler. Vernier avait presque oublié la honte de l'instant précédent, il éprouvait maintenant de l'admiration, tout en se sentant infiniment petit devant l'immense soldat qui lui parlait. Il était en train de recevoir sa première grande leçon de morale militaire, sa première leçon d'homme. Mais le Général n'avait pas fini. Il s'était levé, et s'était approché du jeune élève au garde à vous.

﷓ Vernier, il va falloir prouver que vous êtes un homme, ou je vous exclus de l'École. Il va falloir montrer que vous savez résister. Nous allons vous punir, Vernier. Mais cette punition, ce sera aussi une épreuve. Pour commencer, veuillez ôter cet uniforme que vous déshonorer.

L'ordre fut si rapide que Vernier tarda un moment à réagir. Puis il comprit qu'il fallait s'exécuter. Il n'avait pas le choix, il ne pouvait même pas imaginer qu'on l'exclue de l'École. Il rompit le garde à vous et se défit de sa veste d'uniforme. Il ôta sa cravate puis sa chemise. Sur un signe de l'aide de camp, il enleva également son T-shirt blanc. Son buste imberbe, déjà bien musclé par les exercices constants, apparut dans la lumière de l'après-midi finissant. Le Général se rassit derrière son bureau. Sur un nouveau signe de l'aide de camp, Vernier ôta ses chaussures et son pantalon. Le Général laissa glisser son regard le long de ces jambes couvertes d'un duvet blond, et se mit à bander. Le garçon, sur une indication de l'aide de camp, retira ses chaussettes. Il était maintenant presque nu, devant les deux hommes impassibles. Ce déshabillage avait eu lieu dans un silence total. Le Général reprit la parole :

﷓ Vous allez avoir mal, Vernier, je préfère vous avertir. Mais une chose est très claire : la moindre plainte, le moindre cri, ou le moindre mouvement pour éviter la douleur, et je vous exclus.

﷓ À vos ordres, mon Général, prononça stoïquement le garçon.

Le Général se remit debout et s'approcha du garçon, une règle à la main.

﷓ Mettez les mains sur la tête. Bien. Maintenant écoutez-moi. Vous n'avez jamais connu la souffrance, la douleur physique, votre corps ne connaît que le plaisir, comme on a pu voir. En prononçant ces mots, le Général caressait le corps du garçon avec sa règle. Il suivait la courbe du dos, puis celle des cuisses, observant intensément l'anatomie du jeune élève. La règle remonta lentement le long des cuisses, par devant, puis se posa sur le slip. Le Général semblait soupeser le paquet de coton blanc, puis la règle remonta le long du torse, et vint titiller les pectoraux épanouis. Oui, reprit le Général, il est temps de nous montrer que vos savez résister. De Brenne, procédez, dit-il en s'adressant à l'aide de camp.

Celui-ci tenait en main une cravache assez longue. Vernier, les mains sur la tête, en slip, attendait des coups. Il pensait à des coups dans le dos, mais la cravache s'abattit sur son pied gauche. Un hurlement monta dans sa gorge, mais il sut l'étouffer. Un deuxième coup s'abattit sur son pied droit. Le Général vit les orteils se relever sous la douleur, il bandait, il ouvrit sa braguette derrière son bureau. A nouveau un coup cinglamnt s'abattit sur le pied auche de l'élève, qui s'étouffait pour ne pas crier. Son corps se cambrait, mais il ne voulait pas bouger, il ne fallait pas bouger d'un pas, il le savait, car il devait prouver sa force de résistance. Le pied droit reçut son deuxième coup. La brûlure était extrême. Vernier plia un peu les jambes, mais se redressa.

﷓ Bien, reprit, le Général en fixant les yeux du garçon, tuméfiés par la douleur, ce n'est pas mal. Nous allons maintenant passer à quelque chose de plus classique. Approchez-vous. L'aide de camp poussa Vernier vers l'immense bureau du Général, et l'obligea à s'incliner, et à saisir le bord opposé du plateau, celui derrière lequel était assis le Général. Ainsi son visage, compte tenu de la largeur impressionnante du bureau, se trouvait à environ un mètre de celui-ci. Il ne voyait pas, bien entendu, ses manœuvres intimes, mais lui faisait face. En levant les yeux, il pouvait le regarder. En fait, il ne voyait que le bois du bureau, pour rien au monde il n'aurait voulu lever les yeux sur son chef.

﷓ Vernier, vous allez recevoir les verges, comme chez les Romains.

L'aide de camp lui présenta l'instrument, une dizaine de badines très fines liées ensemble, un peu comme un grand balais. Plus classique, mais pas moins douloureux, pensa-t-il rapidement.... Il sentit que l'aide de camp passait derrière lui. Un silence se fit, pesant. Dans la campagne envvironnante, on n'entendait rien, comme si tout était en suspend. Vernier regardait le bois du bureau, puis il ferma les yeux. Le silence était absolu. Il entendit un mouvement derrière lui, l'aide de camp devait prendre son élan et soulever les verges. Puis le premier coup s'abattit, terriblement violent, qui plaqua Vernier contre le bureau, lui arracha des larmes, et déchira un peu son slip blanc réglementaire. Trois coups d'une violence inouïe s'abattirent sur Vernier, toujours au même endroit. L'aide de camp observa les degâts qu'il causait : le slip de plus en plus déchiré, et ce qu'il laissait voir de l'anatomie de Vernier était déjà bien rouge. Il reprit son élan, et frappa à nouveau un grand coup, puis un deuxième. Le slip était en lambeaux, la fesse droite apparaissait presque complètement, l'autre était encore un peu protégée. De Brenne observa un moment ce spectacle. De la pointe de ses bottes, il obligea Vernier à écarter un peu plus les jambes. Son regard plongea dans la raie du jeune garçon, presque entièrement visible. Seuls quelques morceaux de tissu blanc protégeaient encore un peu son intimité. Les testicules étaient encore maintenus par le sous-vêtement. Vernier sentit que De Brenne levait à nouveau le bras.

﷓ Regardez-moi, cria alors le Général.

Vernier, pour obéir, dut alors relever la tête, de façon que tout son corps se cambra, et que ses fesses se bombèrent, comme pour mieux s'offrir aux coups. Il en reçut cinq, dans cette position, aussi douloureux et violents que les premiers, le regard fixé sur les yeux acier du Général, qui observait avec une jouissance infinie les larmes du jeune aspirant. Mais celui-ci retenait toute plainte, tout gémissement. Il commençait à se sentir dans un état second. Ses fesses, ses cuisses étaient en feu. De son slip, il ne restait maintenant que l'élastique ; deux lambeaux de tissus pendaient de chaque côté, son cul était entièrement dégagé, à la merci des verges. Combien de coups devrait il recevoir ? Ils n'avaient rien dit. Plus de dix, en tout cas, car le ch^tiemnt avait déjá repris. Douze, treize, quatorze, quinze. Une pause. Il haletait, au bord de l'évanouissement. Ses yeux embués ne voyaient plus le Général. Il entendit cependant celui-ci prononcer :

﷓ Allez jusqu'à vingt !

Cette fois, De Brenne frappait en haut des cuisses, à la naissance des fesses. Vernier avait envie d'hurler, en fait tou son corps huralait, mais il parvenait à n'émettre aucun son, c'était comme s'il avait tout refoulé dans son estomac. Son étourdissement était tel qu'il n'entendit, au début, les mots du Général :

﷓ C'est bien, c'est bien, vous savez prouver que vous êtes un homme. Vous résistez bien.

L'aide de camp releva le garçon, qui se trouva face au Général. Celui-ci le contempla. Son aspect était lamentable, le slip en lambeau, qui protégeait encore son _s_e_x_e par miracle, ses yeux rouges et gonflés, hagards, son visage tuméfié, ses jambes tremblantes. Tout cela parut si beau au Général qu'il éjacula monstrueusement sous son bureau, comme d'habitude. Le garçon était trop perdu pour se rendre compte de quoi que ce soit.

Enfin le Général se leva, fit le tour du bureau et contempla le travail de de Brenne.

﷓ Magnifique, murmura-t-il, avec un clin d'œil pour son aide de camp. Puis, à haute voix : bien, nous allons terminer cette petite leçon de résistance en châtiant l'instrument du crime....

Vernier ne comprenait pas, ne voulait pas comprendre. Mais il pensa au pire quand le Général s'approcha de lui, et sur un ton nouveau, extrêmement dur, brutal, il lui lança :

﷓ Je vais vous passer l'envie de tirer sur l'élastique pendant un bon moment, moi.... De Brenne, mettez-le en position.

De Brenne poussa le garçon contre le bureau et le força à s'y coucher, sur le dos, les jambes pendantes. Le Général s'approcha, et d'un geste sec arracha le tissu qui couvrait encore son _s_e_x_e. Seul l'élastique entourait encore sa taille. Les deux gradés échangèrent un regard complice devant cette belle queue, bien enracinée dans une touffe de poils abondants, et la jolie paire de couilles. Vernier était suffoqué par lq peur, qu'allait-ils faire, il ne pouvait s'imaginer qu'ils allaient.... Mais il vit le Général prendre dans son biureau une sorte de martient court, noir, composé seulement de quatre lanières de cuir. De Brenne saisit la jambe gauche de l'élève et le força à la lever. Le Général en fit autant avec la jambe droite.

﷓ Les mains derriére la tête, crièrent-ils en même temps.

Dans cette position, Vernier, dévoilait toute son intimité à ses supérieurs, qui contemplaient la verge renversée sur le ventre, les couilles pendantes, l'entrejambe velue et l'anus rose. Le Général se mit alors à frapper tout cela indistinctement, par petits coups secs. Cette fois, Vernier ne put retenir ses gémissements. C'était affreux. Les lanières ne pardonnaient pas, elles s'abattaient sur les couilles, la verge, l'anus, l'intérieur des cuisses, toutes ces parties sensibles. Vernier n'avait jamais imaginé une douleur aussi horrible. Il garda cependant les mains derrièe la tête, et essaya de se débattre le moins possible entre les mains fermes de la'ide de camp et du Général. Celui-ci s'arrêta enfin. Il `prit le martinet à l'envers, et avec le manche, il tapota l'entrejambe de Vernier, juste au-dessus de l'anus.

﷓ Bien, je crois que vous avez éteé suffisamment puni pour cete fois. Par ailleurs, vous avez fait preuve depassablement de résistance, bien que je n'aie guère apprécié ces petits cris, à la fin.

Le manche du martinet s'attardait sur les parties intimes de Vernier, il sentit même que le Général le posait sur l'anus, et exerçait des petites pressions, comme pour le pénétrer. Vernier retenait son souffle. Il ressentit une chaleur intense dans ses cuisses, ses couilles, comme un flux énorme qui l'envahissait. Le martinet était devenu presque caressant, presque agréable. Il sentit que De Brenne passa derrière lui. Il ne le voyait plus. Il lui sembla que le Général observait son aide de camp avec un regard lubrique, pendant qu'il continuait à promener le manche du martinet entre les cuisses de l'élève puni. Et Vernier sentit alors qu'il commençait à bander. Oui, une érection, dans ce moment de relâche. Oh non, pas çà ! pas çà ! Mais ce fut inévitable. Sa queue rougie, par les lanières du martinet se dressa peu à peu sur son ventre.

﷓ Il me semble que la leçon n'a pas été suffisante, dit le Général ironiquement.

Et il se mit à frapper à nouveau, plus violemmet que la première fois, toute l'intimité du garçon. Celui-ci, qui n'était plus retenu sur sa gaucha par De Brenne, ne put s'empêcher de se contorsionner sur le bureau. Le Général semblait déchîné, il frappait, il frappait, tout en regardant derrière son bureau les manœuvres de son aide de camp. Celui-ci, en fait, s'était mis complètement nu, exhibant sa queue énorme qui était sur le point d'exploser. Il avait mis un pied sur le fauteuil du Général, et se livrait à une séance d'exhibition, pour son Général, lui présentant son cul, ses couilles. Le Général jouissait du spectacle, il voyait un mec superbe se branler devant lui, pendant quy'il fouettait sauvagement les parties les plus intimes d'un jeune garçon en chaleur. Ah !,enfin, il se retrouvait au Paradis....

﷓ Sortez immédiatement ! ordonna-t-il à l'élève. Ne saluez pas !

De sorte que le garçon disparut sans tourner les talons, et sans voir l'exhibition de l'aide de camp. Cela, c'était le Paradis secret du Général.


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