Conseils Pour Une Fessee Familiale Solennelle


by BERTRAND < 100616.3666@compuserve.com >

C'est vous le fouetteur ! Vous etes le grand frere du garcon puni et votre pere vous a charge de le corriger a sa place. Vous vous croyez investi d'une mission d'education ; certes, ce n'est pas faux mais il y a bien plus important : vous aller jouer une piece a deux acteurs et il va falloir etre meilleur que votre partenaire...

Votre partenaire, bien entendu, c'est votre petit frere. Il fera tout pour vous presenter comme un personnage odieux et fat et tachera d'apparaitre comme une victime courageuse de l'arbitraire paternel et de votre sadisme. Surtout, ne tombez pas dans son piege ! N'oubliez pas qu'une partie du public est pour lui, notamment quelques tantes qui le gatent trop, la vieille bonne et une petite cousine qui est amoureuse de lui. De votre cote, en revanche, vous avez toutes les personnes de _s_e_x_e masculin et le reste des femmes, y compris votre mere qui approuve la correction. Seul, votre grand-pere, dans sa chaise roulante, reste sans opinion parce qu'il n'a plus toute sa tete et qu'il n'a rien compris a ce qui se prepare, on a d'ailleurs renonce a lui expliquer. Une partie de votre role consiste donc a remettre les choses en place dans l'esprit des gens : vous ne devez pas leur faire perdre de vue que votre petit frere n'est qu'un sale gamin pas assez souvent puni et que vous accomplissez votre mission sans plaisir mais par devoir. Votre reussite sera totale si les partisans de ce morpion se disent que la punition est severe mais meritee. De toutes facons, ne cherchez pas a convaincre la petite cousine amoureuse, elle restera fidele jusqu'au bout, aveuglee par son amour... Bien entendu, les roles sont muets, ou du moins, les paroles rares. Si vous avez bien compris cela, vous pouvez reussir mais ce n'est pas suffisant : vous devez ensuite preparer la salle de spectacle.

La salle de spectacle est generalement le salon. Vous devez vous arranger pour qu'il n'y ait personne dans la piece afin de pouvoir travailler en paix. Vous avez donc fait consigner votre frere dans sa chambre pour qu'il ne vous gene pas, puis vous sortez un peu avant la fin du dejeuner. Votre frere doit cependant manger un peu : un malaise pendant la correction ruinerait votre carriere. Vous lui faites donc porter un repas leger par la bonne et, pour etre sur qu'il avale quelque chose, vous veillez a mettre un demi-eclair au chocolat. Il ne resistera pas a la tentation parce qu'il est gourmand mais sera enerve de n'avoir qu'une moitie. Grace a cette frustration il jouera moins bien son role...

Au salon, vous prevoyez un siege par adulte et vous les mettez en cercle afin que personne ne perde une miette du spectacle. Les enfants, eux, s'assieront en tailleur, par terre. Des a present, vous placez le martinet bien en evidence sur une petite table ( pour un adolescent, il y a lieu d'utiliser une cane anglaise ou, a defaut, une cravache). Attention ! Cela vous provoque peut-etre des picotements aux fesses en raison des corrections que vous avez vous-meme subies (surtout s'il vous arrive d'en recevoir encore ! ), ce n'est pas le moment d'oublier que vous etes de l'autre cote de la barriere et vous devez montrer que vous savez etre severe. (Dans le cas contraire, il serait logique de penser que vous n'etes pas encore adulte et qu'on ne peut pas vous confier de responsabilites).

Le repas termine, les spectateurs arrivent par petit groups. La vue des lanieres les emoustille pendant le cafe. Chacun fait semblant d'etre impassible sauf les petits cousins de l'age de votre frere qui sont epanouis et battent des mains a l'idee de la piece qu'ils vont avoir le plaisir de voir jouer devant eux. Regardez leurs visages ! S'ils sont trop turbulents, leurs parents les rappellent a l'ordre en leur disant qu'ils peuvent bien y passer eux aussi ! Vous lisez une fugace inquietude dans leurs yeux qui les assagit un instant.

Si les enfants sont presses, les adultes au contraire, savent faire durer le plaisir. Laissez les boire leur cafe et les liqueurs, il n'y a rien d'urgent surtout s'il pleut et qu'on ne peut sortir. Pendant ce temps, votre petit frere est toujours consigne et s'exaspere de cette attente...

Il faut dire un mot de l'habillement ; c'est, bien sur, un element qui ne depend pas directement de vous mais il y a plusieurs choses a savoir. Si votre frere est frele et un peu rachitique, vous veillerez a ce qu'il se presente en pantalon : la vue de ses jambes trop maigres peut entrainer dans son camps quelques indecis. Dans les autres cas il doit porter des culottes courtes, ca lui rappelle son age et c'est plus seyant (ce qui peut-etre le cas de certains garcons jusqu'a treize ans environ),.

Un adolescent ne porte generalement plus de culottes courtes, a moins qu'il soit scout et que ce soit exige par le mouvement auquel il appartient. Vous pouvez neanmoins accepter un bermuda a condition qu'il soit d'une couleur unie et pas trop vive ou, a defaut, un short.

Vous n'avez pas la possibilite de contraindre le puni a renoncer au pantalon mais vous pouvez le convaincre. Pour cela, faites lui croire, directement ou par personne interposee qu'etre en culottes courtes peut predisposer favorablement quelques spectateurs qui y verront un signe de jeunesse ou de soumission et precheront l'indulgence.

La vue des jambes peut emoustiller le public, surtout la cousine amoureuse. Il faut donc eviter les chaussettes qui remontent jusqu'aux genoux pour laisser les mollets nus. Le public se demande si vous fouetterez aussi les jambes. Vous n'y manquerez pas, bien entendu, pour que votre partenaire garde des traces visibles toute la journee et pour plaire aux spectateurs. De plus, quelques coups de martinet sur les mollets peuvent aider le puni a se montrer docile et a se deculotter diligemment. C'est un autre avantage des culottes courtes sur le pantalon ! S'il a des grandes chaussettes, vous les lui faites baisser immediatement.

Les jeunes gens du parterre doivent etre, eux aussi, en culottes courtes, quelques soient leurs morphologie. Ca leur rappelle qu'ils sont aussi en age d'etre fouettes et, si certains sont maigres, votre frere, par contraste, paraitra en excellente sante et donc parfaitement apte a subir une severe correction.

Qui va chercher le puni dans sa chambre ? Certainement pas vous ! Vous chargez de cette mission un jeune cousin qui en sera tout excite. Attention, la partie devient maintenant plus difficile : votre partenaire entre en scene.

Le jeune cousin va se rasseoir, il se caresse furieusement les jambes, les cuisses et les genoux tellement il est enerve. Il est egalement ravi du bout de role qu'il a joue, le cherubin ! Neanmoins, meme si sa joie fait plaisir a voir, ne vous preoccupez pas de lui ; restez impassible meme si sa prestation est plus importante qu'il ne le pense lui-meme : en effet, il est tellement heureux que cela exaspere votre frere au plus haut degre. Ce dernier lui tire la langue et votre cousin qui n'en n'esperait pas tant lui fait quelques signes pour lui rappeler qu'il va etre fesse.

Tout ceci est tres bon pour vous : votre frere ne toise pas l'assemblee ni ne songe a l'attendrir, par un regard expressif et mortifie ; de plus, le personnage odieux est le cousin et non vous.

Il est desuet de faire mettre votre frere a genoux pendant la lecture de la sentence et le rappel des faits. Toutefois, dans certaines familles, cette tradition est encore respectee, dans ce cas vous vous pliez naturellement a la coutume pendant que le cher petit cousin aide de quelques autres, continue ses mimiques exasperantes. Bien que cela aide votre jeu vous lui jetez un regard de fausse severite pour vous faire bien voir des adultes. Naturellement, il s'en moque.

Enfin, vous priez votre partenaire de baisser sa culotte et son slip. Vous evitez de proceder vous-meme a cette operation, cela ferait passer votre petit frere pour un bebe et on ne fouette pas un bebe ! Par ailleurs, vous paraitriez ridicule si vous ne parveniez a defaire les boutons. Comme indique plus haut, vous n'hesitez pas a lui cingler les mollets avec les lanieres du martinet s'il ne met aucun empressement a obeir.

Quelles positions adopter pour fesser ? Elles sont diverses et variees, tout depend de votre morphologie, de vos gouts etc... Mais, la encore, il y a des regles essentielles a respecter : par exemple, si vous avez decide de mettre un pied sur une chaise puis le ventre du gamin sur votre cuisse, vous devez veiller a ce qu'il n'ait pas la tete en bas pour qu'il puisse supporter suffisamment longtemps la position. Il faut donc que la chaise soit pres d'un meuble, une table par exemple, pour qu'il y appuie son torse. (Vous aurez recouvert auparavant la table d'un vieux morceau de tissu pour qu'elle ne soit pas abimee par les larmes et la morve du garcon).

Il est indispensable de garder le martinet, la cravache ou les autres instruments a portee de main, vous pouvez, par exemple, les poser sur la table. Lorsque vous soulevez votre frere, vous veillez a ce que sa culotte ne tombe pas a terre mais reste sur les chevilles afin de lui lier un peu les jambes et l'empecher de trop gigoter.

Le plus important est ce que doit voir et ne pas voir le public adulte. Ce qu'il a envie de voir ce sont les fesses du puni et c'est justement ce qu'il faut lui montrer : la tete est deja connue et, en voyant le cul, bien des visages vont rosir de plaisir, surtout chez les vieux oncles ! De plus, par ses mimiques, votre frere pourrait faire croire qu'il subit une veritable torture, tandis que, meme s'il hurle, la vision des fesses qui rougissent ramene les choses a une juste proportion. Il a meme interet a ne pas trop se faire remarquer pour ne pas indisposer les spectateurs.

Les jeunes cousins, en revanche sont enchantes de voir la souffrance sur le visage du puni et lui chuchotent de temps en temps " Bien fait !" pendant l'execution.

Si le garcon fait des siennes pour obeir, vous le menacez de dix coups de martinet supplementaires, c'est en general suffisant pour le calmer. De toute facon, pendant la lecture de la sentence, vous avez omis de preciser le nombre de coups que vous comptiez administrer pour vous reserver le droit d'en donner autant que vous le desirez.

Votre frere installe en partie sur votre cuisse, en partie sur la table, les jambes tombantes, les fesses bien en vue du public, vous etes pret pour commencer. Pourtant vous patientez un peu pour titiller les sens des spectateurs. Certains se disent, en voyant ce cul tout blanc, que c'est par la que penetre la bonne conduite et que plus la peau rougit, plus ca rentre. D'autres se voient bien des annees en arriere quand ils etaient a la place de votre frere et croient sincerement que c'etait le bon temps. Ils pensent que l'education etait meilleure autrefois parce qu'il n'y avait pas de television et qu'on fouettait donc bien plus les enfants, le dimanche, apres dejeuner. Ils se disent a juste titre qu'ils ne s'en sont pas portes plus mal.

Enfin, ca y est ! La fessee commence. Vous debutez par quelques claques sonores pour etudier le rougissement de la peau. Cela surprend tout le monde, y compris votre frere qui s'attendait deja a la morsure des lanieres.

Vous vous saisissez du martinet (ou de l'instrument que vous avez choisi) alors qu'un murmure de contentement agite l'aimable assistance. Meme la petite cousine amoureuse ne peut s'empecher d'ecarquiller les yeux. Vous fouettez fermement mais lentement. Certes, des coups precipites font plus mal sur le moment, mais la seance est alors abregee, le garcon s'agite et peut parvenir a se degager parce que, dans l'excitation, on a du mal a le maitriser. Donc, pour bien reussir votre fessee, vous devez espacer les coups.

D'un bras vous tenez solidement le gamin et de l'autre vous le fouettez en frappant bien les deux fesses. Attention a ne pas faire saigner un petit coin de cul alors que le reste n'a pratiquement pas ete touche. Ce n'est pas du travail et il se trouvent alors souvent de bonnes ames pour reclamer la fin prematuree de la correction.

Tous les quinze coups vous jetez un oeil sur le public. Tant que vous voyez des visages congestionnees et une majorite d'yeux vous suppliant de continuer, vous continuez. Meme si vous etes fatigue. C'est la dure loi du spectacle !

Ces pauses vous permettent de vous eponger le front et de menager votre frere afin de le fesser le plus longtemps possible. Les autres garcons en profitent pour lui lancer des sarcasmes du style : " Tu la prends, ta fessee, hein !", " Tu fais moins le mariolle, a present !", " Dis, pourquoi t'as les fesses rouges ?", " T'as pas honte de t'balader tout nu ?", " Il a pas de culotte !", " C'est pour draguer les filles que tu montres ton cul ?", " Et bien moi, si j'etais une fille, j'voudrais pas d'un mec qui recoit la fessee en public !", " Pleure pas, tu salis la nappe !" etc...

Votre frere, humilie, crie sous les coups et un oncle s'exclame : " Il n'est guere courageux !". Il sait bien pourtant qu'il gigotait et hurlait plus fort que les autres quand lui-meme etait fouette dans sa jeunesse.

La raclee dure un certain temps mais arrive le moment ou vous sentez que le public se lasse. Vous administrez alors une douzaine de coups forts et rapides sur les mollets du puni pour qu'il garde, si possible quelques jours, des traces visibles de tous. Enfin, vous le lachez ; il s'enfuit, honteux, suivi par quelques tantes gateaux et la petite cousine amoureuse. Vous saluez le reste du public.

Pour terminer, lisez ces deux derniers conseils : defendez votre frere contre les railleries des autres, il se dira que vous n'etes pas si salaud et meme sympa, et dans dix ans, quand vos parents seront morts, il ne fera pas trop d'histoires pour que vous preniez la commode Louis XV lors des partages ; enfin, devenu fouetteur officiel de la famille, n'omettez pas de mettre un peu de vinaigre sur les lanieres du martinet quand vous devrez fesser le jeune cousin espiegle : ca lui apprendra a se moquer des autres, ce petit con !