Puni Ensemble


by Chris <Fessee2@yahoo.com>

Un vendredi soir, je devais dormir chez Antoine comme cela arrivait de temps en temps. Après le diner, nous devions nous laver. Antoine et moi profitons de ce moment pour bien rigoler. Dans la baignoire, on s'asperge, on s'éclabousse, on essaye de mettre la tête de l'autre sous l'eau, on essaye de tordre la queue de l'autre. Bref, on s'amuse bien. Au bout de quelques minutes, la salle de bain est devenue une vraie piscine. On est vraiment déchainé car on fait des boules mouillées avec du coton et on les lance au plafond sur lequel elles restent accrochées avant de retomber sur le sol. On a vraiment mis un bordel pas possible.

Attiré par nos cris, Franck débarque dans la salle de bain et cela nous raméne sur terre rapidemment et nous fait prendre conscience du chantier que l'on a mis. Franck se met en colère, insistant sur tout ce que nous avons salis : "mais qu'est ce que c'est que ce chantier ? Qui a mis toute cette eau par terre ? Qu'est ce que vous avez fait avec le coton ? etc ..." Et puis, un peu calmé, il dit "Bon, vous allez me remettre cette pièce en état. Ca a intérêt à être niquel. Quand vous aurez fini vous irez dans votre chambre, je vais vous apprendre à tout salir moi !".

Antoine et moi nettoyons méticuleusement la salle de bain pour montrer à Franck que ces remontrances avaient servi et pour réparer notre faute. C'est donc en toute confiance que nous retournons dans la chambre que je partage avec Antoine quand je dors chez lui. Il doit être 21h30, Antoine et moi sommes en caleçon, torse nu en train de discuter sur son lit en attendant que l'on vienne nous demander d'éteindre la lumière. Nous sommes très désagréablement surpris de voir Franck entrer dans la chambre, l'air toujours en colère et surtout tenant un martinet à la main. Nous imaginons rapidemment la suite des événements.

Franck nous regarde et dit "Je crois que vous méritez tous les deux une bonne trempe pour vous apprendre à ne pas faire n'importe quoi dès que j'ai le dos tourné". Antoine essaye de négocier "mais nous avons tout nettoyé". Franck n'aime pas que son fils lui tienne tête : "cela n'empèche pas que vous vous êtes conduits comme des cochons et que vous méritez une bonne punition. Et si tu continus à me répondre, je te donne quelques coups de plus, des commentaires ?". Nous restons silencieux bien sur.

Franck prend les choses en main. Il glisse le manche jaune du martinet dans le ceinturon de son jean et dit "Vous avez commis cette faute ensemble donc vous serez puni ensemble. Je crois être juste en disant que cela mérite vingt-cinq coups de martinet. Comme c'est la première fois que je vous corrige en même temps, je ne vous donnerai que 10 coups cul nu. Des commentaires ?". Evidemment aucun. "Bon alors, approchez vous de la table, un de chaque coté, penchez vous et posez vos mains dessus". Comme des pantins, nous allons nous placer comme Franck nous l'a demandé. Je suis courbé en avant avec juste mon caleçon blanc, en face de mon pote dans la même position et dans la même tenue.

Franck reprend : "Je veux vous entendre compter le nombre de coups à haute voix. Si vous bougez trop, si vous interposez vos mains, si vous vous relevez ou essayez d'éviter les coups, j'ajoute quelques coups à tous les deux. Bon allez, je crois qu'il est temps de zébrer ces fesses, on commence". Franck reprend le martinet en main, se place derrière son rejeton et rectifie un peu la position pour mieux voir les fesses de mon pote. Il lance les lanières de cuir dans l'air. "Schlack". Je vois mon pote se raidir et grimacer. Il annonce "un". Cinq coups tombent ainsi avant que Franck ne change de coté, je sais maintenant qu'il va s'occuper de moi. J'attends avec anxiété le début de la punition lorsque le premier coup tombe sur mes fesses. C'est supportable, je regarde mon pote et annonce à mon tour "un". Au cinquième, la douleur n'est pas trop forte mais je sais que ce n'est que le début et qu'il y en a encore 20 à recevoir.

Franck se replace derrière son fils et il lui administre une série de dix. Mon pote à l'air d'avoir mal ce coup-ci et alors que je n'ai plus très mal maintenant, je vois Franck revenir vers moi. Effectivement, ces dix coups supplémentaires sont plus douloureux. A partir du 12ième, je me dis "plus que 3 avant qu'il ne change de coté et me laisse un petit répit". Au 15ième coup, alors qu'il retourne à nouveau vers Antoine, je me demande si je vais tenir les 10 coups qui restent surtout que nous n'aurons plus notre caleçon pour nous protéf-ger un peu.

"Bon allez les gars, maintenant, comme promis, correction cul nu, baissez vos caleçons" et devant notre lenteur "A poil j'ai dit, et vite". On se redresse et baissons notre caleçon jusqu'aux chevilles. Nous commencions à avoir un peu de poils autour de la bite , celle-ci n'est plus tout à fait celle d'un môme mais plutôt la queue d'un pré-adolescent. "Remettez vous en position". Franck regarde les fesses de son fils et semble admirer le résultat des quinze premiers coups. Il va maintenant pouvoir admirer son travail petit à petit et voir rougir ces postérieurs.

Les lanières de l'instrument frappent les fesses d'Antoine qui transpire un peu. Au 21ième coup, machinalement, il se redresse en posant les mains sur ses fesses. "Qu'est ce que j'avais dit, tu as gagné deux coups de plus et ton pote aussi. Allez remet toi en position". Antoine me regarde d'un air désolé. Il compte jusqu'à 27 et reste en position. J'appréhende mon tour mais n'ai pas longtemps à attendre le 16ième tombe très vite, la douleur est instantannée. Par moment, Franck frappe en haut des cuisses. Il change de coté pour faire tomber les lanières sur la fesse droite puis sur la gauche. C'est dur de ne pas crier, de lui demander d'arrêter mais l'idée de recevoir des coups supplémentaires m'est insuportable. Enfin, le 27ième tombe, je suis soulagé que cela soit fini mais je crains que Franck ne change d'avis et continue.

"Redressez vous et restez les mains sur la tête. Je veux que vous réfléchissez à votre faute et à ce qui s'est passé ensuite pour vous évitez de refaire la même erreur. Je veux pas vous entendre parler sinon ... A tout à l'heure". Nous restons face à face, les mains sur la tête, la bite à l'air, le caleçon aux chevilles sans parler. Au bout d'une bonne demi-heure, Franck revient "Allez vous coucher et pas un bruit ce soir, je voudrais pas avoir à décrocher le martinet une nouvelle fois ce soir". Nous remontons nos caleçons, direction notre lit. On se couche sur le ventre forcément. Franck éteint la lumière "Dormez bien".

Au bout de quelques minutes, la discussion s'engage très doucement. Je commence "ca va, t'as mal ?. "Oui ça brule et toi ?" . "Oui, ça chauffe. Et il te fouette souvent ?". "Presque une fois par semaine, je vais finir par avoir l'habitude. Tu vas le dire à ton père que le mien t'as filé une trempe ?".Je lui répond : "Oh non, je risque de m'en prendre une autre pour mal me tenir quand je suis invité chez quelqu'un. Il frappe vachement fort ton père". Antoine aquiesce : "Et encore, avec mon frère ainé, il est encore plus dur. Toute la punition est donnée cul nu et il peux lui filer plus de 50 coups. Il l'a même déjà attaché pour le tenir en place, t'imagine la volée ?". "Bon allez, on dort, j'ai la trouille que Franck revienne".

fessee2@yahoo. com


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