La Fessée Programmée - Suite Et Fin


by Bruno <Spankingfun@hotmail.com>

... Le moment crucial était effectivement arrivé.

Recevoir une fessée, c'est un point. Mais l'humiliation de la fessée reçue, même à sa demande, allait atteindre son point culminant pour Stéphane.

Je lui demande de se lever... Je suis maintenant assis, les jambes écartées, pour mieux le recevoir sur mes genoux.

Je le fixe sévèrement droit dans les yeux. Il baisse la tête... Il a compris. Sans un mot, mes mains s'approchent fermement de ce boxer noir. Je prends l'élastique de la taille et, sans ménagement, je fais baisser jusqu'à ses genoux le sous-vêtement.

Je le tire à moi. Voilà ! Stéphane est là, penché sur mes genoux, les pieds dans le vide, la tête presque à terre. Je le positionne : les fesses nues rougies par la correction, bien exposées, saillantes dans l'air.

"Parce que tu n'allais pas t'imaginer que ta fessée se limitait à recevoir çà sur le slip, hein ?" lui dis-je

"Non, bien sûr... je me doutais bien que çà allait être plus sévère que çà..."

"Bien. C'est clair au moins. C'est évident que cela va être plus sévère !"

CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK!

Et voilà ce petit cul qui se met à danser à droite et à gauche, des "Han", "Aie", "Ouïe", "Woaw", "Non", "Ouf" retentissent dans la pièce que des claquements secs, fermes, répétés, méthodiques viennent ponctuer.

Le petit cul se met à rougir de toute part. Aucun morceau de fesse n'est épargné. Je claque à droite, à gauche, au centre, en bas, en haut, les cuisses aussi profitent de mon envolée de fessées. Une main maladroite vient se mêler au jeu :

"Qu'est-ce-que je t'ai déjà dis Stéphane ! Enlèves-moi cette main IMMEDITAEMENT !"

"Oui, pardon, mais çà fait mal !"

Et alors là, mes mains se déchainent, s'abattent sans remords sur ces deux petites fesses qui n'en peuvent plus. Je penche la tête de Stéphane très bas, j'écarte encore plus mes genoux : il est en équilibre, le cul bien en l'air, en train de se faire corriger comme il le mérite. Je profite d'une très courte pause pour lui enlever complètement le boxer et je recommence d'emblée la correction.

Après des cris un peu plus gémissant, je décide de le calmer un peu... Un temps au coin va lui permettre de reprendre ses esprits avant le coup final.

"Vas te mettre au coin, comme tout à l'heure"

Il se lève. Me regarde. Tate ses fesses. Une grimace... Les yeux un peu rougis... Il a pleuré !

"Les mains sur la tête ?"

"Bien sûr. Presses-toi"

Et je le vois reprendre sa position au coin. Joli corps ce mec. Les jambes légèrement écartées montre la base de ses couilles. Le cul très rouge. Mais pas une seule égratignure. C'est mieux comme çà !

"Sur le haut de la tête les mains, pas derrière !"

"Pardon !"

Je m'approche. Il le sait. Il le sent.

"Je crois que tu en demandes encore, non ? Sinon, tu obéirais. Tu crois pas ?"

"Je ne sais plus..."

"Moi je sais".

Je le tire vers la table. Il se couche dessus. Les mains loin devant le forcent à se mettre sur la pointe des pieds. Le cul hyper rebonbi à l'air. Je lui place les couilles contre le bas ventre. On ne sait jamais.

Et là, ma technique pour voir arriver les larmes que je n'ai pas vues poindre tout à l'heure : fesser au même endroit sur une même fesse. Puis passer à l'autre. Fesser exactement au même endroit. De plus en plus fort.

CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK! CLACK!

Voilà pour une !

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Et pour l'autre.

L'effet désiré n'a pas mis longtemps pour arriver. Cette fois-ci Stéphane pleure pour de bon, en essayer d'étouffer sa douleur pour des grimaces et cris réels.

Il a gardé la position. Il n'a pas bronché. Il savait qu'il devait être corrigé ce soir et que son tour était arrivé. Il a cambré davantage son cul en l'air pour prendre sa fessée de la façon le plus humiliante qu'il soit... Car je n'ai été que son exécuteur. La fessée, c'est sûr, c'est lui qui l'avait programmée !


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