Le Général Au Paradis 1


by Frenchspanker <Frenchspanker@hotmail.com>

Le jeune aspirant se tenait au garde à vous devant le Commandant de l'École. Sa tête tournait, il ne voyait plus très clair, ses jambes tremblaient légèrement dans son uniforme impeccable. Il tâchait de maintenir l'attitude la plus parfaite possible, mais cela ne rachetait pas la faute commise. A travers un brouillard, il voyait le Commandant de l'École, assis derrière son immense bureau, à contre-jour, qui lui posait des questions.

- Aspirant Gaudoin, reconnaissez-vous ces faits : mercredi 18 janvier, alors que vous deviez monter une garde de 8 heures du soir à 3 heures du matin, vous vous êtes fait remplacer par l'aspirant Brion. Exact ?

- Oui, mon général.

- Vous savez que ce procédé est strictement interdit par le règlement de l'École ?

- Oui, mon général.

- Vous savez bien que si les officiers sont dispensés de garde, il est bon que pendant la période de formation, ils connaissent toutes les servitudes du service ? Tel est du moins l'esprit de cette École. Oui ou non ?

- Oui, mon général.

- Bien. Le règlement de l'École prévoit dans ce cas 8 jours d'arrêt, suppression de tout l'avancement et obligation de repasser toutes les épreuves d'admission à l'École. Vous le savez ?

- Oui, mon général.

- Bien. Mais comme vous êtes une des meilleures promesses de cette École, nous allons vous donnez la possibilité de subir un autre type de correction, qui ne sortira jamais des quatre murs de ce bureau et qui n'apparaîtra jamais dans votre dossier. Je vous annonce tout de suite qu'il s'agit d'un châtiment physique, que vous recevriez séance tenante, ici même. Vous avez bien sûr le choix. Réfléchissez.

L'esprit encore plus confus qu'avant, avec la sensation de glisser dans une situation douteuse, mais salvatrice en un sens, le jeune militaire bredouilla :

- J'ai réfléchi, mon général.

- Comment ?

- J'ai réfléchi, mon général, j'accepte le....la correction.

- Très bien. Restez au garde à vous.

Le jeune aspirant se cambra encore plus dans son uniforme, et commença à éprouver une étrange sensation ; le sol se dérobait sous ses pieds. Il jeta un regard vers le bas et comprit : il était placé sur une trappe d'environ 1 mètre carré qui descendait tout doucement en dessous du bureau du général. Soudain, la plaque s'immobilisa. Seule sa tête dépassait. Il pouvait voir celle du général, impassible, qui le regardait fixement. En réalité, cette impassibilité était feinte, car le général, à l'abri de son immense bureau, avait déjà ouvert sa braguette et caressait doucement sa queue déjà dure. Il raffolait de ces situations et il savait qu'il allait jouir terriblement en contemplant les tourment de son jeune officier.

Celui-ci ne pouvait rien voir en dessous de lui, mais sentait la présence d'un ou plusieurs hommes, là en bas. Soudain, on commença à lui délasser ses chaussures. Le général demanda :

- Qu'est-on en train de vous faire, aspirant ?

- On....on m'enlève mes chaussures, mon général.

- Ah....intéressant....et maintenant ?

- On....m'enlève mes chaussettes, mon général.

- Bien....continuez, vous allez me racontez tout ce qu'on vous fait....

- On m'enlève ma veste....- - Oui....

- On me défait ma cravate, mon général

- Très bien, très bien, continuez....

- Je.... on....m'enlève mon pantalon, mon général.

- Bien....bien murmura le général avec un regard encore plus intense. Il regardait avec une satisfaction évidente les contorsions du jeune homme qui devait se laisser déshabiller sans broncher.

- On m'enlève ma chemise, mon général.

Il y eut alors un long moment d'attente, puis devant le regard insistant du général, le jeune gars prononça :

- On m'a enlevé mon slip, mon général.

Le général, qui avait dégagé entièrement sa queue, eut un spasme de plaisir que l'aspirant ne vit pas. Il imaginait ce corps brun, musclé, légèrement velu, entièrement nu, exposé, et bientôt châtié.

L'aspirant sentit qu'on lui attachait les bras et les jambes, puis qu'on lui passait une ceinture de cuir certainement reliée à un châssis, ou aux murs, car il se sentit complètement immobilisé.

Alors commença la séance de fouet. Ce fut long, cuisant, très douloureux. Les coups tombaient savamment sur les fesses, aux endroits les plus sensibles. Les hommes, là en bas, possédaient un art consommé du fouet. Les cuisses ne furent pas épargnées, derrière et devant. Il y eut même quelques coups appliqués sur les pieds. Au milieu de la séance, le général posa à nouveau la question :

- Qu'est-ce qu'on vous fait ?

Alors qu'il serrait les dents pour ne pas crier, le jeune homme put articuler, la voix déchirée :

- On me fouette, mon général....

Et quand le général commença à voir sur le jeune visage viril, tuméfié par la douleur, couler les premières larmes, son _s_e_x_e explosa sous le bureau en saccades longues et répétées. Il était au Paradis.


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