14 Juillet


by Chris <Fessee2@yahoo.com>

Ce sont les vacances d'été, précisément un 14 juillet. Je suis en vacances en Normandie avec mes parents et mon frère. Je viens de terminer mon année de 3e, j'ai donc 15 ans. Je suis avec un autre copain de mon age Thomas un mec blond très sportif, adepte de la planche à voile avec qui j'avais fait connaissance sur la plage. Il n'y a pas de vent alors on s'emmerde un peu. Dans l'après-midi, nous passons devant une supérette qui vend des pétards. Nous en achetons de toutes les puissances et commençons à les faire exploser sur la chaussée, mêlant nos explosions à celles qui résonnent un peu partout dans la ville.

On essaye de trouver des endroits marrants pour les faire exploser : enterrer dans le sable comme des mines, dans des sacs poubelles, dans des boîtes aux lettres....Lorsque l'on place le pétard dans un endroit réduit, le bruit est plus fort. Je vois une cabine téléphonique et ai la brillante idée de proposer de placer le pétard dans le réceptacle à monnaie. C'est Thomas qui place la charge et allume la mèche. On se recule un peu, l'explosion est très forte. Une fumée épaisse apparaît, on rigole bien de cette trouvaille. La fumée ne se dissipe pas et au bout de quelques instants une flamme s'échappe de l'appareil qui est en train de cramer.

Ni une, ni deux, Thomas et moi courons vers la rue où nous habitons tous les deux. Nos parents se connaissent également et, comme il est 18h, prennent l'apéritif ensemble sur la terrasse. Nous regagnons le grenier ou ma chambre est installée, content de se tirer aussi facilement du sale coup que nous venons bêtement d'accomplir. Notre tranquillité aura été de courte durée car, de la fenêtre, j'appercois, venant vers notre portail, un home que j'ai déjà vu et qui habite près de la cabine téléphonique. J'ai le ventre noué et continue de parler avec Thomas, d'un air un peu distrait. Tout cela ne me dit rien qui vaille....

Quelques minutes plus tard, la voix de mon père retenti fortement " Christophe, Thomas, descendez tout de suite ". Nous obéissons et trouvons nos parents avec un visage sévère, debout face à l'homme que j'avais parfaitement reconnu. Mon père n'y alla pas par quatre chemins : " On peut savoir ce que vous avez fait cet après-midi ? ". J'échange un regard vers Thomas et lui réponds " on a été sur la plage et on a fait sauter des pétards ". J'évite de lui dire qu'on à cramer une cabine.

Mon père a l'air furieux maintenant " Monsieur Leneuf vient de nous apprendre que vous avez aussi fait brûler une cabine téléphonique. C'est bien ça, Monsieur ? ". Celui-ci hoche la tête : " Oh oui, pas de doute, je les ai bien vu avant qu'ils ne s'enfuissent ". Puis s'adressant au père de Thomas : " Vous savez Monsieur, si vous n'étiez pas connu dans la région, j'aurai été directement à la gendarmerie pour les dénoncer. Comme je respecte votre travail pour la collectivité, je préfère vous éviter ce genre de publicité. Mais j'espère que vous donnerez à ces garçons la punition qu'ils méritent. Si mon gamin faisait une telle connerie, je vous jure qu'il recevrait une dérouillée au martinet ".

Mon père attrape la balle au bond " Ne vous inquiétez pas Monsieur, nous allons les punir sévèrement ". Puis se tournant vers moi : " Tu as de la chance qu'on ne soit pas à la maison et que je n'ai pas le martinet sous la main ". Monsieur Leneuf s'avance un peu : " Oh s'il ne vous manque que cela, je veux bien vous passer le mien. Ça vous intéresse ? ". Mon père se tourne vers Jean, le père de Thomas : " Je suis preneur. Qu'est ce que vous en pensez ? ". Il regarde son fils avec sévérité : " Je crois que c'est une excellente idée. Il y a bien longtemps que j'aurai dû utiliser la manière forte avec toi ". Puis il s'adresse à notre mouchard : " Je vous remercie de nous avoir prévenu en premier. Pour vous montrer que ces voyous auront ce qu'ils méritent, je vous propose de venir assister à la punition ".

Monsieur Leneuf se tourne vers le portail : " Je reviens dans 10 minutes. Ca ne vous gêne pas, si mon fils assiste également à la punition. Ce genre de spectacle à une vertu pédagogique sur les autres gosses ". Nos pères hochent la tête en signe d'approbation. Mon père me pousse par l'épaule : " rentrez à l'intérieur. Vous nous attendez dans le salon, face au mur, mains sur la tête ". Comme deux couillons, nous nous exécutons, un peu dépité de s'être fait ainsi dénoncer et de ne pas avoir d'éléments à apporte à notre défense. Nous sommes maintenant tous les deux cotes à cotes, en short de sport, basket, tee-shirt avec les mains sur la tête comme des mômes de 5 ans.

Nous entendons nos parents discuter de notre connerie, disserter sur notre puérilité, notre comportement irresponsable, que les jeunes d'aujourd'hui font n'importe quoi, bla-bla-bla....Nous tendons l'oreille quand la conversation prend un aspect plus concret avec une question de Jean : " tu veux les punir comment ? ". Mon père hésite un peu : " Je pense que ces garçons qui se comportent comme des gamins méritent d'être puni comme des gamins donc cul nu. Dans le même temps, puisqu'ils sont costaux, la punition doit être forte. Je propose 60 coups de martinet. Je ne lui en ai jamais appliqué autant mais là, il a vraiment dépassé les bornes ". Jean approuve : " C'est OK pour moi. Je te laisse commencer et continuerai ". Thomas me regarde d'un air fataliste.

Le portail claque, les voix se mélangent et un mouvement se dessine vers la pièce où nous sommes. Thomas et moi restons figés malgré les mouvements et la conversation qui se déroule derrière nous : " Bel objet. Vous vous en servez souvent ? " " Pas assez, selon moi. Mais je crois qu'il remplit assez bien son rôle ". Un bruit de claquement de lanières fend l'air, mon père s'adresse à nous maintenant : " Retournez vous les gars pour faire connaissance avec l'instrument de votre punition ". Nous gardons les mains sur la tête et découvrons une assistance masculine composée de nos deux paternels, de mon frangin et de Monsieur Leneuf avec son fils, un garçon d'une dizaine d'années.

Évidemment notre regard tombe sur l'objet que mon père tiens dans la main. Il s'agit d'un martinet classique avec un manche en bois jaune et une douzaine de lanières marron. Mon père caresse avec son autre main les lanières de cuir : " Jean et moi avons décidé que puisque vous vous comportez comme des mômes, vous serez punis comme des mômes. Vous recevrez chacun 60 coups de cet instrument que l'on réservait dans le temps aux enfants désobéissants. Christophe, je pensais ne plus avoir à m'en servir avec toi, je m'étais trompé ".

Il me pousse vers la table à manger pendant que les spectateurs à l'exception de Thomas, toujours les mains sur la tête, s'asseyent sur le canapé : " Je pense que tu te souviens de la procédure. Tu enlèves ton tee-shirt et tu baisses ton short et ton caleçon aux chevilles. Ensuite tu te penches sur la table pour recevoir ta raclée ". Machinalement, je retire mon tee-shirt et le pose sur la table. Le plus dur, c'est de baisser mon short, puis mon caleçon. Je n'aime pas me retrouver ainsi à poil devant tout le monde mais je n'ai pas le choix.

Je suis maintenant nu face aux spectateurs. Je me retourne vite fait vers la table pour éviter que ces mecs me matent le _s_e_x_e, un peu gêné dans mes mouvements par les vêtements coincés dans mes jambes. Je me penche en avant et pose mes mains sur le rebord de la table, offrant mes fesses au vue de tous. Mon père glisse une main sous mon ventre : " recule-toi un peu plus. Cela te permettra de mieux te courber et je pourrais atteindre plus efficacement la cible. Tu es prêts ". Je lâche un " ouais " de rebelle qui donne à mon père le feu vert pour débuter la punition.

Le premier coup claque sec sur mes fesses. J'avais fini par oublier comment cela pouvait être douloureux. Évidemment au début c'est supportable. Ça chauffe un peu mais la répétition des lanières qui tombent au même endroit, ça, ca fait mal. En attendant les coups, je jette un œil à gauche. Je vois Thomas qui me regarde et qui à l'air de compatir à mon humiliation. Je vois également mon père qui tiens le manche d'une main et les lanières de l'autre. Il prend son temps avant d'envoyer le coup suivant qui me fera redresser la tête en avant et lâcher un " ahhh " sourd.

Je penche aussi de temps en temps la tête à droite, je regarde la tête des spectateurs. Eux n'ont pas l'air de s'apitoyer sur mon sort. J'ai même l'impression que Monsieur Leneuf apprécie de me voir ainsi. Le père de Thomas lui regarde comment mon père fait car il sait qu'il devra sous peu prendre sa place. J'ai de plus en plus mal et j'ai vraiment envie de poser mes mains sur mes fesses pour atténuer la douleur. Je m'en garde bien car j'imagine que cela me vaudra des coups supplémentaires. Il faut que je tienne, que je montre mon courage. Je crois qu'on en est au vingtième.

À chaque fois que les lanières frappent mon cul, mon corps se raidit. J'agrippe la table de plus en plus fortement et commence à transpirer. Au bout de 30 coups, mon père s'interrompt : " Allez à tour maintenant Thomas. Je finirais Christophe dans quelques minutes ". Je me redresse, content du répit que je viens d'obtenir. Je pose mes mains devant mon _s_e_x_e et me dirige vers Thomas, traînant mes fringues à mes pieds. Mon père dirige le manche du martinet vers mes mains : " Ne soit pas si timide, mains sur la tête, tu vas à ton tour assisté à la punition de ton copain ". Je lève mes bras et pose mes mains dans la position indiquée. Thomas s'approche de la table, enlève son tee-shirt, baisse d'un coup son short et son caleçon et pose ses mains d'un geste décidé sur la table : " C'est quand vous voulez ".

Cette remarque exaspère mon père qui, avec de l'élan, envoi les lanières directement sur les fesses d'Antoine. La douleur semble instantanée car il se redresse d'un coup. Je pense qu'il a été surpris par la force de ce coup. Il se replace et un deuxième coup tombe, moins fort cette fois, puis un troisième. Thomas est courageux aussi. Il râle peu. Au bout du dixième coup, mon père tend le martinet à Jean pour poursuivre la correction de son fils " Vous pouvez y aller franchement, il est costaud votre fils ". Le père de thomas attrape le martinet et semble étudier l'instrument. Il se place derrière son fils : " Je te promets que tu ne recommenceras pas de sitôt tes conneries. J'aurai dû utiliser cette méthode avec toi depuis bien longtemps ". Et vlan, un coup s'abats sur les fesses de Thomas.

Je vois les fesses de Thomas rougir à chaque coups. Par endroits, on voit sur ces fesses des traces rouges laissées par les lanières. Cela commence à m'exciter et ma queue qui était au repos commence à prendre du volume. Je ne bande pas mais bon, il ne faudrait pas grand-chose pour qu'elle raidisse vraiment. J'essaye de me concentrer sur autre chose. Mais Thomas me jette un œil. Dans son regard, je comprends qu'il est plus furieux qu'il n'a mal en vérité. Il semble se contrôler pour ne pas hurler.

Jean, en même temps qu'il frappe, fait la morale à son fils " Tu te conduis comme un gamin. Est ce que tu penses à ma réputation. Des trempes au martinet, tu en auras tous les jours, si tu continues à te comporter comme un môme de cinq ans ". Thomas se redresse d'un bond, attrape le martinet des mains de son père et le balance à l'autre bout de la pièce. Il remonte son short et son caleçon " Putain, je suis pas un môme de cinq ans. J'ai passé l'age de recevoir une fessée déculottée devant tout le monde, OK ? ". Il se dirige vers la porte : Viens Christophe, on se barre ". J'hésite un peu mais le prétexte est bon pour me rhabiller et cacher mon érection naissante. Je remonte donc mon short et attrape mon tee-shirt au passage. Mon père essaye de me retenir par le bras " Je te déconseille de suivre ton ami ". Je le repousse : " C'est ce qu'on va voir ". J'ai le cœur qui bat à cent à l'heure. Des voix résonnent derrière moi, je n'y prête plus attention et sort dehors en suivant Thomas. Nous nous dirigeons vers la plage désertée à cette heure sans parler.

Nous nous asseyons dans le sable, Thomas me pose la main sur l'épaule " Ne t'inquiète pas. Dans quelques heures, ils seront calmés. Ils font flipper en pensant qu'on a fait une fugue. Ils seront trop content de nous revoir ".

A suivre


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