Le Redoublement De Nicolas


by Pegase

Le redoublement de Nicolas

En rentrant de sa partie de tennis avec Olivier, Nicolas comprit tout de suite, en voyant son carnet de notes sur la table ainsi que son père à côté, visiblement furieux, que les résultats n'étaient pas en sa faveur. " Je t'avais prévenu, il me semble, que si tu redoublais tu le regretterais. Puisque tu n'as pas voulu travailler cette année, c'est écrit sur ton carnet en toute lettre, tu ne partiras pas en vacances lundi avec ton ami Olivier et sa famille. Cela te fera peut-être réfléchir pour l'année prochaine. " " S'il te plaît papa, laisse moi y aller. Je te jure que l'année prochaine je travaillerai sérieusement, je te promets qu'en revenant, je réviserai pendant tout le mois d'août. "

Nicolas était catastrophé par cette décision. En effet, il se faisait une joie de passer le mois de juillet avec Olivier et sa famille dans leur chalet. Son ami lui avait tant vanté les magnifiques paysages pyrénéens où l'ont pouvait faire de belles randonnées, ainsi que du lac situé à deux pas de leur lieu de résidence. " Et toi Olivier, tu passes dans la classe supérieure? " " Moi ?... Euh !... Oui Monsieur. " Et que se serait-il passé en cas d'échec?" " J'aurais certainement reçu une bonne fessée, sinon plusieurs, mais heureusement je ne redouble pas. S'il vous plaît, Monsieur, vous ne pourriez pas trouver une autre punition pour Nicolas et le laisser venir avec nous? " " Je vais y réfléchir. En attendant rentre chez toi, Nicolas passera vous donner ma décision ce soir, sinon j'avertirai ton père par téléphone. Et toi, monte dans ta chambre! " Nicolas s'exécuta en espérant que son père le laisserait tout de même partir, tout en se demandant quelle punition il pourrait trouver en remplacement. Un quart d'heure plus tard, son père ouvrait la porte de sa chambre. " J'ai pris ma décision, je te donne le choix entre deux punitions. Soit tu es privé de ton mois de vacances chez ton copain Olivier, soit tu acceptes de recevoir une bonne fessée. Si tu choisis la seconde solution, tu devras toi-même aller demander au père d'Olivier de te donner cette correction. Ce sera lui qui choisira le moment qui lui semblera le meilleur pour te la donner, ainsi que la sévérité de la punition. À toi de choisir. " Nicolas était atterré. Il avait très envie d'aller avec son ami, mais la perspective de recevoir une correction de Monsieur Duranceau le terrifiait tant, à cause de la fessée elle-même qu'il redoutait (car bien que n'en ayant jamais reçu lui-même, Olivier lui avait raconté certaines corrections appliquées par son père) que de la honte qu'il ressentirait, même si, comme il l'espérait, la fessée serait donnée en privé. N'arrivant pas à prendre une décision, il essaya encore de fléchir son père dans l'espoir, bien faible, de s'éviter cette humiliation. " S'il te plaît Papa, tu ne... " " Il n'y a pas à discuter, Tu choisis l'une de ces deux propositions ! À toi de voir. " " Alors... je crois que... je préfère... la deuxième. " " C'est-à-dire? " " Eh bien... la fessée. " " Très bien, tu peux aller la lui demander maintenant. Emmène ton carnet, tu lui feras voir tes exploits. Et ne traîne pas en cours de route. " Nicolas se résigna et, l'estomac noué par l'appréhension, se dirigea vers la maison des Duranceau qui habitaient à cinq cents mètres de chez lui. Arrivé devant la porte, il rassembla tout son courage pour appuyer sur la sonnette. Son ami lui ouvrit et le fit entrer dans la cuisine où se trouvaient ses parents et ses deux jeunes frères de douze et quatorze ans. Ils s'apprêtaient pour le repas du soir. Ne laissant pas le temps à Nicolas de dire bonjour, Olivier, impatient, lui demanda: " Alors Nicolas ! Quelle est la décision de ton père ? Pourras-tu venir avec nous? " Nicolas rougit jusqu'à la racine des cheveux et, après s'être raclé la gorge, se lança et répondit d'une traite, en s'adressant à Monsieur Duranceau: " Monsieur, mon père m'a donné le choix entre deux solutions : soit je reste à la maison tout l'été, soit je dois vous demander de me fesser pour me punir parce que je vais redoubler. Et j'ai choisi la fessée. Il m'a dit que ce serait vous qui décideriez du moment de la correction. Tenez s'il vous plaît, voici mon carnet de notes. " Le père d'Olivier consulta scrupuleusement le carnet présenté et hocha la tête: " Effectivement, il n'est pas bien beau. Je dirais même qu'il est catastrophique. Bon Eh bien déshabille-toi Nicolas. " L'intéressé, qui ne s'attendait pas à ce que cela se passe le jour même, était stupéfait. " Vous voulez dire... maintenant ! Et... devant tout le monde? " " Évidemment devant tout le monde. C'est la règle ici. Et plus vite la question sera réglée, mieux se sera pour toi. " N'ayant pas tellement le choix, il commença par retirer son tee-shirt, puis batailla un moment avec ses lacets pour retarder l'instant fatidique, enfin il se décida à déboucler sa ceinture et à déboutonner son pantalon. Il eut encore un moment d'hésitation avant de finir par le baisser et l'enlever entièrement. Tête basse, il se retrouva, pour tout vêtement, en slip, sous les yeux intéressés et gênés d'Olivier et ceux, moqueurs, de ses frères. Il espérait pourtant pouvoir garder son sous-vêtement car, à quinze ans, il ne s'était encore jamais mis nu levant d'autres personnes que ses parents. Mais son espoir fut vite réduit à néant par le père d'Olivier: " Allez! Retire ton slip aussi. " La mort dans l'âme, il obtempéra. Les joues rouges comme une tomate, il mit me main en coquille devant son _s_e_x_e et, le l'autre, retira son dernier vêtement. après s'être assis sur une chaise, monsieur Duranceau l'attira à lui et le coucha sur ses genoux. Nicolas se sentit encore plus humilié de se retrouver dans cette position devant son ami et sa famille. Quand les coups commencèrent atterrir sur ses fesses, la présence des spectateurs passa rapidement au second plan. Il n'imaginait pas que cela fasse aussi mal. Il essaya bien, par fierté, le ne pas réagir ni crier, mais la brûlure lui envahit ses fesses devint rapidement insupportable et le poussa à tenter l'échapper à son tourmenteurs en se tortillant et en remuant ses jambes en tous sens. Les claques tombaient régulièrement, frappant longuement au même endroit avant de passer à une autre zone, au grand désespoir de la victime qui se mit à crier et à supplier en pleurant à chaudes larmes: " Je vous en prie ! Aïe ! Arrêtez ! Aïe Ouille! S'il vous plaît! Aïe ! Ça fait mal Ouille! " Nicolas obtint finalement gain de cause, mais pas de la manière escomptée, puisque ses fesses étaient délaissées au profit de ses cuisses. Sous la douleur, Nicolas remuait les jambes dans tous les sens. Pour l'immobiliser, monsieur Duranceau passa une jambe par-dessus celles du garçon et continua un moment la correction. Quand enfin Nicolas put se relever, il se frotta vigoureusement les cuisses et les fesses en feu, tout en trépignant sur place, la douleur annihilant la pudeur bien qu'il eut un début d'érection. S'apercevant enfin de son état, rouge de confusion, il se hâta de placer les mains devant son _s_e_x_e. C'est cet instant précis que son fouetteur choisit pour lui lancer: " Mets tes mains sur la tête, ce n'est pas fini. Il reste encore le martinet. Olivier, va le chercher. " Pour Nicolas, c'est comme si le ciel lui tombait sur la tête. Mais, maté par la fessée qu'il venait de subir, il prit la position indiquée, sans protester. Olivier rapporta enfin à son à son père l'instrument demandé. " Tu vas en recevoir quinze coups sur les fesses, et autant sur les cuisses. " Monsieur Duranceau prit Nicolas par la taille pour l'immobiliser, et les coups commencèrent à pleuvoir sur l'arrière-train du pauvre garçon qui hurlait à chaque cinglée tout en se débattant et en serrant les fesses, dans le vain espoir de diminuer la douleur. Les cuisses attrapèrent ensuite, à leur tour, la ration de coups prévue. Quand il fut enfin libre, il se frotta vigoureusement les fesses et les cuisses rouge carmin avec les traces des lanières nettement visibles, tout en sautillant et trépignant sur place. Monsieur Duranceau revint avec un petit short blanc appartenant à Olivier et le lui tendit: " Tiens, tu mettras cela au lieu de ton pantalon, comme cela ta famille verra que la sanction a été appliquée immédiatement. " " Mais tout le monde va voir les traces! " " Mais non, à l'heure qu'il est il n'y aura personne dehors. Et puis, cela te servira peut-être de leçon. Tu récupéreras ton pantalon lundi quand nous partirons en vacances. Maintenant que la question est réglée, nous pourrons partir l'esprit en paix, et tu ne seras pas perturbé à l'idée d'une correction restant à venir. " Il le consola encore pendant un moment et Nicolas sécha ses pleurs. Il put enfin se rhabiller avec le petit short qui lui dégageait bien les cuisses et rentrer chez lui, honteux et un peu inquiet de l'accueil qu'il allait y recevoir.

Les cinq cents mètres qu'il avait à parcourir lui paraissaient faire cinq kilomètres. Heureusement, il ne rencontra que deux personnes qu'il ne connaissait pas mais qui, à sa grande honte, se retournèrent, étonnées, pour admirer ses cuisses très rouges. En le voyant, son père comprit immédiatement, à ses yeux rouges et à sa tenue, que la correction venait d'avoir lieu. " Baisse-ton short et va te mettre le nez au mur et les mains sur la tête. Comme cela ton frère et ta soeur pourront admirer sur tes fesses et tes cuisses le résultat désastreux de ton année scolaire ! Tiens d'ailleurs, je les entends qui rentrent. " Nicolas s'exécuta et resta ainsi immobile, face au mur. Son frère et sa soeur furent stupéfaits de le voir dans cette position et sidérés de la couleur des fesses et des cuisses du puni. Quand enfin, un bon quart d'heure après, il put se rhabiller, il se promit de travailler le mieux possible l'année suivante, de manière à ce que cette épreuve ne se renouvelle pas.

Il était néanmoins satisfait, car il allait passer un mois de juillet fantastique avec Olivier.


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