Bizutage Partie 2


by Christophe <Christophe92@wanadoo.fr>

Cédric se replace au centre : " Bon, les bizuts, vous intégrez un internat qui ne compte que des keums. Alors, faut que vous compreniez qu? on est bien obligé de se faire plaisir entre nous. J? espère que vous me comprenez. C? est long les semaines ici, pour des jeunes bites en chaleur. On va donc former les puceaux que vous êtes. Messieurs les bizuteurs sortez vos bananes. Et les bleus, mettez vous à genoux ". Un instant, j? ai cru que ca allait mal dégénérer mais j? ai été rassuré en voyant Fabrice sortir une vraie banane de son sac. Il l?épluche un peu, la place au niveau de la bosse de son survet et me la glisse son le nez : " Allez, suce ma banane. Ouvre bien la bouche. Sors ta langue. Lèche le bout. Applique toi. Maintenant, essaye d? avaler le tout bien profond. Avance. Recule. C? est bien. T? es une bonne salope toi. Laisse-en un peu pour ton copain ". Il me retire la banane de la bouche et se dirige avec le fruit vers Benj pour simuler à nouveau la scène. Je regarde à droite et à gauche et vois toutes les têtes des bizuts en train de saliver sur les bananes.

Au bout de quelques minutes de ce petit jeu, Cédric fini de manger sa banane : " Pendant que vos bizuteurs vont vous détacher, je vous explique l?épreuve suivante. Un bon pensionnaire doit prendre des précautions. Alors vous allez avoir cinq minutes pour dérouler correctement une capote sur le zob de votre partenaire. Pour ceux qui n? y parviendront pas ou pour les capotes mal mises, il y aura un gage ". Fabrice me tends ainsi qu?à Benj une pochette : " Bon, vous avez compris, tu dois lui mettre et lui te fait pareil ". Je me tourne vers Benj : " Le mieux pour qu? on y arrive, c? est de se faire raidir avant ". Je joins le geste à la parole et commence à me masturber en face de Benj qui m? emboîte aussitôt le pas. Fabrice ne perds pas une goutte du spectacle. Il en profite même pour se caresser à travers le tissu de son survet et je distingue bien maintenant une tige droite qui déforme le survet : " Magnez-vous il reste 2 minutes ". Je tire bien à la base de mon pénis : " Benj, j crois que je suis assez raide là. Vas y met moi la capote ". Il déchire la pochette, en extrait le bout de plastique et le pose sur mon gland. Il déroule en prenant son temps, en tirant bien jusqu? au bout. Dans mon dos, j? entends la voix de Cédric : " Une minute ". Je déchire à mon tour la pochette. La queue de Benj n? est pas complètement raide, mais je parviens tout de même à bien dérouler le préservatif. Je sens d? ailleurs qu? elle prend du volume pendant que je m? occupe de lui. J? ai du cirage plein les mains. Tenir ainsi la bite de Benj dans ma main me fait de l? effet et je conserve une bonne trique. La voix de Cédric résonne à nouveau dans mon dos : " Fin de l?épreuve. Messieurs les bizuteurs au rapport ". Un petit groupe se forme autour de Cédric pour discuter et délibérer. J? en profite toujours pour regarder autour de moi. C? est effectivement drôle de voir toutes ces bites, noires et recouvertes de plastique. La plu part des bites dont la mienne sont maintenant molles ou en semi-érection.

Cédric appelle quatre prénoms et demande aux personnes concernées de s? avancer : " Vous avez échoué à l?épreuve. Alors, nous allons vous donner un gage. On va vous laissez seuls derrière les murs la-bas pendant 5 minutes. Deux d? entre vous seront peints en jaune, deux autres peints en bleu. Vous devrez ressortir tous les quatre en vert. En cas d?échec, vous subirez un autre gage ". Pendant ce temps, deux bizuteurs avaient sorti deux sots de peinture et deux gros pinceaux. Les quatre mecs sont badigeonnés des pieds à la tête de peinture de couleurs différentes. Tous les bizuts profitent du spectacle et se marrent. Pendant les cinq minutes, nous discutons avec nos bizuteurs, nous toujours à poil face à eux. C? est la fin de l?été, et il ne fait pas froid. Lorsque Cédric annonce " Fin de l?épreuve ". Les quatre keums sortent plus ou moins verts. En tout cas, plus de la même couleur qu? au début. Cédric rompt les rires de l? assemblée : " Vous avez fait des efforts. On va dire que l?épreuve est réussie. Le bizutage est presque fini pour aujourd? hui. Il y aura une autre épreuve bientôt, mais elle sera plus personnalisée ".

Pendant qu? il parle, les bizuteurs se sont positionnés en cercle autour de nous, leur sac de sport aux pieds. Cédric ouvre son sac comme les autres : " Vous êtes presque trop propres pour des bizuts, on va remédier à cela ". À ces mots, il tire de son sac une boîte d??ufs dont il envoie le contenu sur ces bizuts. Ces comparses le rejoignent dans l? action et balancent à leur tour les ?ufs frais qu? ils ont dans les mains. On se met à courir vers l?école, mais les ?ufs nous atteignent facilement. J? en reçois sur la tête, le dos, les cuisses. Ça dégouline partout c? est crade. On entends derrière nous les hurlements des bizuteurs qui nous rattrapent. Aux ?ufs succèdent maintenant de la farine comme le goudron et les plumes du far West. Je suis recouvert de blanc d??uf et de farine que me balance en quantité Fabrice : " Cours Forest, cours ".

Arrivé à une centaine de mètres de l? entrée des dortoirs, le groupe de bizuteurs se disperse à toute vitesse. Nous montons dans le dortoir et regagnons nos chambres déjà ouvertes. Benj, Thomas et moi nous regardons en riant. Benj retire la capote de son zob : " Ben, on est bon pour une bonne douche ". J? enlève à mon tour la mienne puis attrape ma serviette : " J? espère que ca pars bien, le cirage ". En arrivant à la douche, je constate qu? elles sont déjà bien occupées pas des keums qui s? agitent à nettoyer leurs tiges et à faire partir le noir. Ce n? est pas évident, mais petit à petit ca s? en va. On échange nos réactions sont la douche : " C?était pas trop dur ", " Moi, je m? attendais à pire ",

" Je suis content de pas être en vert ",

" T? as une sacrée grosse queue ",

" T? as aimé quand je t? ai mis ta capote ",

" Toi aussi t? as aimé, je sentais ta queue se durcir dans ma main ",

" Apparent, c? est pas encore fini le bizutage ",

" Je crois qu? ils nous réservent encore d? autres surprises ",

" Cool, parce que si tu dois encore me toucher la bite, je suis pas contre du tout ", " Tu déconnes ? ",

" Va savoir ".


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