Un étrange Comportement 4 French


by Cyrion <Cyrionlejeune@hotmail.com>

Un étrange Comportement 4

Dès que sa mère repartit en voyage d'affaires, Matthieu eut, sans surprise, l'obligation de reprendre la routine des bonnes habitudes acquises lors de la précédente absence.

Il passa donc de nouveau ses journées habillé d'un seul tee shirt, et somnola de longues heures en travers des jambes de son beau-père, sans offrir de résistances à ses mains. Que celles-ci le caressent ou lui assènent une des fessées quotidiennes qu'il se devait de recevoir, la cible restait toujours la même : ses magnifiques fesses.

Bien sûr, il continua d'effectuer des travaux ménagers, de jardiner et, bien souvent, dans le plus simple appareil.

La nouveauté qui allait devenir une habitude se manifesta dès le troisième jour suivant le départ de sa mère. Alors qu'il était en train d'arroser le gazon du jardin, Jean-Charles l'appela à lui. Matthieu se précipita, selon sa désormais bonne habitude, et s'entendit signifier, qu'il devait de suite aller dans sa chambre s'habiller, en enfilant un short et des baskets. Jean-Charles lui précisa au cas où il ne l'aurait pas compris, que le slip et les chaussettes étaient interdites. Ils allaient faire quelques courses, passeraient ensuite chez un ami, puis, si Matthieu avait donné satisfaction, l'après-midi lui serait consacré et une bonne surprise l'attendait.

Matthieu eut alors quelques très longues secondes d'hésitation. Dans son esprit, se retrouver cul nu à la maison était un moindre mal. Se trouver dans l'obligation de ne pas mettre de slip quand il était nécessaire qu'il enfile un short quand sa mère était présente était déjà un peu plus difficile. Mais la perspective de ne pas en mettre à l'extérieur lui faisait carrément peur. Devant cette hésitation, Jean-Charles se leva de suite et précisa : " Le bermuda bleu marine sera très bien. Et sans ceinture. "

Bien sûr, ce short était de loin le plus large que Matthieu possédait, puisque il l'avait fait acheté à sa mère pour être à la mode : une taille au dessus. Il le mettait d'ailleurs habituellement avec le seul caleçon qu'il possédait.

Matthieu s'en fut tout de même obéir à son beau-père. Il savait pertinemment que toute résistance ferait déraper la situation en sa défaveur. Une fois rendu dans sa chambre, il enleva donc son tee-shirt pour se retrouver nu. Il enfila le bermuda bleu marine et se tourna vers le miroir intégré à son armoire. Sans forcer, de dos, le vêtement descendait très largement au dessous de la limite habituelle de ses autres shorts. Non seulement la marque de son bronzage était dépassé, mais un bon centimètre du début de ses fesses était visible. Et s'il forçait le bermuda vers le bas, c'était carrément quatre fois plus qui se révélait. Il choisit donc son plus long tee-shirt, et termina de s'habiller.

Quand il redescendit, Jean-Charles eut comme premier réflexe de lui faire remonter son tee shirt sur la poitrine afin de vérifier le résultat. Il n'était apparemment pas surpris que son beau-fils ait choisi un tee shirt très long. Mais il examina sans retenue la vision offerte quand Matthieu ne se cachait plus derrière ce vêtement.

Enfin, les deux prirent la direction du garage et s'engouffrèrent dans la voiture.

Ils prirent la direction d'un centre commercial que Matthieu ne connaissait pas et qui contrairement à celui dont il avait l'habitude se trouvait assez loin de leur domicile. Jean-Charles gara la voiture et ils se dirigèrent tous deux vers le grand supermarché généraliste dont les enseignes dominaient l'ensemble. Ils progressèrent parmi les rayons à grandes enjambées et Matthieu, surpris par ce rythme, était obligé de forcer le pas à chaque instant s'il ne voulait pas perdre de vue son beau-père.

Ils arrivèrent enfin au rayon textile, et le jeune homme se demanda instantanément quelles surprises Jean-Charles lui avait réservé. Il n'eut pas à attendre bien longtemps. Tout d'abord, le choix de son beau-père se tourna vers les sous-vêtements.

" Quand tu reprendras l'école, ou dans les occasions strictement nécessaires, il faudra bien que tu aies à disposition les slips qui conviennent à ce que tu es. " Et sur ce, il se dirigea vers les slips décorés de figures de dessins animés enfantins et prit son temps pour en choisir un large lot en coton. Matthieu ne peut se retenir de laisser échapper un commentaire qu'il essaya d'enrober du ton le plus doux qu'il en était capable :

" Mais ce sont des slips pour les enfants ! Ils sont trop petits pour moi, et en plus les dessins sont trop gamins. "

Jean-Charles se retourna vers lui :

" Gamin ? Mais que crois tu être ? Il est évident que tu crois être bien plus fort que ton âge, certes. Mais c'est commun à tous les enfants de tous les âges. C'est d'ailleurs également commun aux adultes. Regarde, moi, j'ai cru que j'étais suffisamment fort pour enfin t'obliger à être un garçon responsable et obéissant. Que tu m'en remercierais et te comporterais comme l'enfant que tu es encore. Mais non ! Je me suis cru trop fort. Ce n'est pas grave, nous règlerons cela à la maison. D'autres commentaires ? "

Matthieu, les larmes aux yeux, fut incapable de répondre. La journée à peine commencée, et il savait déjà qu'il aurait à faire avec la ceinture de son beau-père le soir. Il essaya bien un timide " Tu as raison ", mais le ton n'y était pas et puis de toute façon, il sentait bien confusément que çà ne changerait rien.

Il se tut donc et fut parfaitement passif durant le reste des achats. Jean-Charles lui acheta donc la panoplie complète du petit garçon. Les slips achetés étaient soit trop petits et décorés de dessins animés, soit de couleur unie, d'une qualité très basse, qui laissait présager qu'aussi bien le tissus que les élastiques ne tarderaient pas à se détendre et à offrir le minimum de protection aux regards éventuels.

D'autres shorts furent achetés, et ceux-ci furent en revanche achetés deux tailles au dessus. Sauf un, encore choisi parmi les plus petites taille que celle de Matthieu. Le garçon pensa que s'il devait porter celui-ci et sans slip en plus, alors les gens pourraient voir aussi bien le haut que le bas de ses fesses.

Des tee-shirts également, mais de taille normale, et qui associés aux shorts trop larges, se révèleraient être de véritables pièges pour la pudeur de Matthieu.

Enfin, Jean-Charles décida d'acheter trois maillots de bains. Les deux premiers, sans surprise, furent des slips de bains de couleur unie et trop petits. Mais à la bonne surprise de Matthieu, le troisième fut un short de bains, de grande marque. Il en fut très heureux, même si il ne remarqua pas que le coton en était léger, et qu'il était d'une blancheur éclatante.

Un vendeur vint alors vers son beau-père. Jean-Charles lui demanda alors si il était possible d'essayer le short de bains ainsi que les autres shorts. A la surprise de Matthieu, le vendeur lui répondit par l'affirmative, jetant sur le garçon un regard qui le mit mal à l'aise. Matthieu avait cru entendre que ce genre de vêtements, le short de bains surtout, ne pouvait, pour des questions d'hygiène, être essayé. Il sentit la main de son beau-père se poser sur son cou et le pousser vers les cabines d'essayage. La voie était ouverte par le vendeur qui, par son attitude, avait le comportement bizarre d'une personne qui laissait suggérer à Matthieu qu'il connaissait Jean-Charles ou du moins l'avait déjà rencontré. Mais rien de flagrant ne paraissait et encore une fois, cette idée fut chassée de l'esprit du garçon.

Ils choisirent la cabine la plus éloignée de l'entrée, et Matthieu fut introduit à l'intérieur. Alors même que le rideau était grand ouvert et que le vendeur se tenait dans l'embrasure, un sourire imperceptible aux lèvres, Matthieu sentit les mains de son beau-père lui soulever sans ménagement son long tee-shirt. Littéralement arraché, celui-ci fut déposé à même le sol et Jean-Charles ôta en à peine un coup d'œil les mocassins de son beau-fils. Et déjà il s'attaquait aux boutons de son short quand son beau-père lui dit :

" Fais pas ta mijaurée ! Tu sais ce qui t'attend déjà ce soir ! Si tu veux, on peut t'en donner un aperçu tout de suite ! "

Et se tournant vers le vendeur :

" Matthieu se fera un devoir de me réclamer la ceinture ce soir, afin de parfaire son éducation ".

Le vendeur eut un grand sourire et d'une voix rauque, commenta :

" Avec la jeunesse actuelle, j'ai l'impression que c'est la seule méthode qui fonctionne. "

Le short de Matthieu tomba sur ses chevilles, révélant sa nudité complète. D'un regard vers le vendeur, Matthieu sut que celui-ci n'en perdait pas une miette. Le short fut ôté, et bizarrement, Jean-Charles crut bon de le retourner alors, comme pour mieux offrir une vision intégrale au témoin. Le temps de déballer le short en prenant son temps, d'arranger enfin un peu les vêtements jetés au sol, et Matthieu, paralysé de stupeur, resta de longs instants complètement nu en présence des deux hommes.

Le short de bains lui fut très autoritairement enfilé. A tel point que lorsque il fut complètement remonté sur son corps , Matthieu n'en éprouva pas un soulagement quelconque : le vêtement était tellement remonté qu'il avait complètement envahi la raie de ses fesses et exerçait une pression très désagréable sur ses testicules. Jean-charles alla encore plus loin : il saisit alors les bourses du garçon au travers du short, et décida après les avoir très fermement malaxées que " Ca allait ". Puis il retourna de nouveau son beau-fils, saisit les fesses de Matthieu et les écarta au maximum de leurs possibilités au travers du tissus pour lâcher peu après un commentaire : " C'est résistant, nous le prenons ".

Alors, le short fut rabaissé sur les chevilles de Matthieu et ce à quoi le garçon s'attendait se produisit.

Il fut en un instant penché d'une lourde traction sur les épaules, ses jambes furent sèchement écartées et il reçut une première claque retentissante au travers des fesses. Il poussa un petit cri, mais se retint ensuite, ne voulant que l'ensemble des clients du magasin sachent qu'il était en train de prendre une fessée. C'est donc un garçon serrant les dents qui reçut une bonne vingtaine de coups sous le regard goguenard et avide du vendeur. Enfin lorsque les fesses de son beau-fils furent de la couleur souhaitée et normale selon ses critères, Jean-Charles se releva en prenant appui sur le cou de Matthieu et lui intima l'ordre de rester dans cette position.

Il s'adressa au vendeur. :

" Vous pouvez veiller sur lui ? J'ai une petite course urgente à faire : un martinet ne sera pas de trop je crois avec ce garçon indiscipliné. "

Ses pas s'éloignèrent, laissant Matthieu dans une position et une tenue on ne peut plus vulnérable, seul avec un homme souriant jusqu'aux oreilles.

Il ne se passa trois secondes avant que Matthieu ne sente la présence du vendeur juste derrière lui. Une claque s'abattit soudain sur ses fesses, et s'attarda longuement, malaxant sans retenue la chair exposée.

Une deuxième claque tomba, très forte, et le garçon ne put s'empêcher de pousser un cri. La main s'attarda de nouveau et fut rejointe par la seconde du vendeur. Elles prirent possession des fesses de Matthieu et les parcoururent en tout sens. De longues secondes silencieuses suivirent. Le vendeur s'accroupit et admira les fesses. Comme son beau-père quelques jours plutôt, l'homme écarta les fesses du garçon afin d'en mieux discerner l'intimité, l'anus. Puis, toujours aussi souriant, les yeux durs, le vendeur se redressa et sa main droite fondit droit vers les testicules et le _s_e_x_e de Matthieu. Il les agrippa fermement, les tira vers lui, et recommença à fesser le jeune homme. Cette fois-ci les claques tombèrent drues sur les fesses de Matthieu. Il pleura tout de suite, tant de la douleur dans ses organes génitaux et ses fesses, que de cette nouvelle humiliation dont il faisait porter la responsabilité à Jean-Charles.

Lorsque celui-ci revint, il constata la rougeur accrue des fesses de Matthieu, ne fit aucun commentaire, et toujours souriant lui aussi, rhabilla le garçon puis ils se dirigèrent vers les caisses.

C'est un Matthieu quelque peu sonné qui monta en voiture pour la suite de la journée. Quand Jean-Charles lui dit :

" Franchement, ton attitude puérile est inadmissible. Je t'avais promis la ceinture pour ce soir, tu as déjà pris une fessée, mais tu peux te préparer à connaître d'autres désagréments d'ici peu de temps. Tu as réussi à faire de ce qui devait être une bonne journée, un gâchis qui ne pourra que t'être préjudiciable ! "

Sur ce, il démarra la voiture et s'en furent. Jean-Charles n'était visiblement pas calmé. Son regard furibond inquiétait Matthieu au plus haut point. Ils n'avaient pas parcouru trois kilomètres que Jean-Charles stoppa soudain la voiture sur les bas-côté. Jaillissant du véhicule, il fit le tour jusqu'à la portière de Matthieu, l'ouvrit et en extirpa son beau-fils ahuri. Puis, il pencha derechef Matthieu en travers de ses genoux, et lui baissa son short sans même avoir besoin d'en ôter les boutons. Dès que le vêtement fut sur les chevilles, il commença à lui redonner de grandes claques, sans retenue sur les fesses. Toujours insatisfait, il poursuivit son oeuvre en descendant sur le haut des cuisses du garçon. Matthieu pleurait chaudement et ne pouvait s'empêcher de regarder la route au long de laquelle des véhicules circulaient. Il vit distinctement des enfants le regarder en passant, des voitures ralentir, ses fesses et sa correction exposées à toute une population d'inconnus indifférents ou rieurs.

Enfin, après de très longues minutes de fessée ininterrompue, il fut relevé et, le short toujours sur les chevilles poussé dans la voiture.

Pendant une bonne heure, Matthieu passa le reste du voyage dans cette tenue, ayant du mal à se retenir de se soulever afin de frotter les fesses. Mais un regard de Jean-Charles dans le rétroviseur l'empêchait d'esquisser le moindre geste.


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