Un étrange Comportement 5


by Cyrion <Cyrionlejeune@hotmail.com>

Un étrange Comportement 5

Cest au bout dune bonne heure que Matthieu fut autorisé à remettre son short en place. Ce qui le gênait le plus dans cette situation, ce nétait pas les autres voitures croisées. Non, cétaient les camions, dont les conducteurs avaient loisir de jeter un coup dœil très complet sur sa tenue très légère. Jean-Charles avait cru bon de lui faire croiser les mains sur la tête ce qui attirait immanquablement les regards sur lui, pensait-il.

Alors, de nouveau, il bascula dans loptique des nouvelles exigences de son beau-père qui souhaitait, même publiquement que sa soumission fut complète et réitérée.

Il présenta alors ses excuses à Jean-Charles. Celui-ci, au bout dun long moment, les accepta, lautorisa à relever son short, à baisser ses mains, et lui rappela longuement quen aucun cas, Matthieu ne devait contester une seule de ses décisions, quil devait se montrer souriant, voire aimant, et par dessus tout parfaitement obéissant.

Sur ce, Jean-Charles lui signifia quils allaient bientôt arriver chez un de ses amis, un professeur de collège, quil avait lui-même eu la chance de connaître durant sa scolarité.

Ils arrivèrent devant les grilles dun petit pavillon situé dans une ruelle écartée des voies principales. Après avoir rangé la voiture, ils descendirent et actionnèrent la petite cloche de la grille. Matthieu remarqua que tous les volets de la maison étaient clos. Un homme apparut alors et vint les accueillir. Il avait une soixantaine dannées, de petites lunettes sur un visage austère et fermé, et portait un costume sombre.

Jean-Charles et linconnu se saluèrent chaleureusement, puis les trois rentrèrent à lintérieur. Matthieu remarqua de suite quil faisait affreusement sombre, ce qui était prévisible. Seules de petites lampes fournissaient un peu de lumière à ce mausolée.

Jean-Charles posa sa main sur la base du cou de Matthieu et dit en riant :

Voici mon beau-fils, Matthieu. Je léduque, mais javoue quil lui arrive dêtre quelque peu indiscipliné .

Un simple Ah ! salua cette déclaration, ainsi quun sourire fermé qui fit immédiatement penser à Matthieu quil était une souris nez à nez avec un chat féroce et froid.

Les trois sassirent, les deux hommes se faisant face dans deux larges fauteuils, tandis que Matthieu était invité à prendre place sur un simple tabouret de pieds juste à la droite de son beau-père.

Leur hôte leur servit alors des rafraîchissements, un alcool fort pour les deux hommes, mais un simple verre deau pour le jeune garçon.

La conversation sengagea à laquelle bien sûr, Matthieu ne prit aucune part, restant timidement silencieux et fixant plus souvent le sol que les deux hommes.

Cest au bout dune longue demi-heure, que linconnu se tourna vers lui et lui dit :

Tiens, Matthieu, sois gentil et va nous resservir un verre. Tu peux, si tu le veux te resservir également.

Bondissant comme un ressort en sortant de sa rêverie, Matthieu sarrêta net dans son élan. Il ne connaissait pas la maison. Gentiment, leur hôte lui indiqua le buffet dans lequel se trouvait la bouteille dalcool souhaitée, la quantité à verser, ainsi que le nombre de glaçons quil devait prendre dans le réfrigérateur.

Quand il revint vers le salon, il reçut un choc et ne put sempêcher de rougir. Jean-Charles expliquait par le menu et avec force détails la correction quil venait dadministrer au garçon, sur le bord de la route. Il fit semblant de ne rien entendre, et se dirigea vers leur hôte puis lui tendit son verre. Alors quil donnait le sien à Jean-Charles, celui-ci lagrippa par le bras pour le retenir auprès de lui, et continua sa description. Quand il mentionna que des dizaines de personnes avaient vu la scène et la rougeur des fesses de Matthieu, les deux hommes rirent franchement.

Puis, Jean-Charles posa son verre, et alors que Matthieu lui faisait face, sattaqua au bouton de son short. Il descendit en un tour de main la braguette, et continuant sur sa lancée, descendit le vêtement sur les chevilles du jeune homme. Enfin, se levant, il remonta le tee-shirt sur les épaules et ordonna à Matthieu de ly maintenir avec ses mains.

Tenez, regardez. Belle rougeur, non ? Et ils rirent de plus belle avant que Jean-Charles ne précise :

Et encore, elles nont pas encore rencontrées la ceinture que je leur destine ce soir !

Puis il se rassit, laissant Matthieu dans cette position qui offrait un vue parfaite de ses fesses et des trois quarts de son corps à cet inconnu qui ne se privait pas pour en admirer tant les formes que la rougeur.

La conversation roula alors sur les fessées régulières que recevait Matthieu, les règles de vie quil se devait de suivre, et toutes les humiliations quil endurait. Pendant de longues minutes, Matthieu resta ainsi, maintenant son tee-shirt relevé, à écouter son beau-père raconter comment il pleurait, dans quelles positions il était penché, quelle vue intime on avait alors de lui. Les deux hommes samusaient franchement, et Jean-Charles décida alors de pousser le jeu plus loin.

Et ce soir, avec la ceinture, je vais tester une position quil na pas encore pris.

Comment çà ? demanda faussement innocent leur hôte.

Comme çà . Il saisit alors Matthieu, et lamena droit vers le petit tabouret sur lequel le garçon sétait assis. Puis dune traction sur ses épaules, il le fit de nouveau asseoir, saisit alors ses jambes aux chevilles, les débarrassa du short, et les ramena vers les épaules, le faisant basculer dans la position voulue. Matthieu se retrouva donc cul par dessus tête et croisa le regard joyeux de lhomme qui détallait ses fesses ouvertes, son anus, ainsi que ses organes génitaux. Jean-Charles précisa :

Bien sur, cest à lui pendant la correction à tenir ses jambes. Il doit veiller à les écarter au maximum de ses possibilités et ses genoux doivent toucher son visage. Il commanda alors à Matthieu de tenir lui même ses jambes dans la position souhaitée et les deux hommes vinrent se placer juste devant ses fesses afin den mieux apprécier la vue. Jean-Charles commenta :

Jai justement fait une acquisition tout à lheure qui va nous permettre de tester cette nouvelle position. Il se dirigea vers la porte de la maison, et sortit. Leur hôte regarda Matthieu droit dans les yeux, souriant, et lui dit :

Tu es un des garçons les plus charmants quil mait été donné de voir. Et de voir complètement qui plus est. Il est dommage que je nai pas pu mettre la main avant Jean-Charles sur les trésors que tu caches si bien et que tu sais désormais montrer quand on tindique la direction à suivre. Mais ne tinquiète pas, je suis sûr que tu préférerais de toute façon avoir à faire à Jean-Charles si tu avais le choix. Même jeune, il a bien appris de moi, mais est toujours resté trop tendre....

Le beau-père de Matthieu revint sur ces entre faits. Il brandissait triomphalement le martinet acheté au supermarché.

Voilà ! Ma nouvelle acquisition ! Elle permettra de varier les plaisirs des corrections de Matthieu. Tenez, je vous en prie, à vous la primeur !

Il tendit le martinet à leur hôte. Matthieu, qui était toujours cul par dessus tête sur le tabouret, ne put sempêcher instinctivement de resserrer quelque peu ses jambes sur la vue intégrale quil offrait aux deux hommes.

Sur une instruction de leur hôte, Jean-Charles se disposa derrière Matthieu et mis ses jambes en tenaille autour de son cou, serrant assez fortement afin de mieux limmobiliser.

Dun mouvement ferme, leur hôte réajusta la position de Matthieu afin quil offre de nouveau la complète disposition de son corps à ce qui allait suivre. Il commenta :

Il faut savoir, je pense, le faire attendre quelques temps dans cette position avant de le corriger. Outre quil prends ainsi totalement conscience de la vue quil donne, je suis certain que ses cuisses commencent rapidement à le faire quelque peu souffrir.

Et de fait, quand Matthieu entendit le verbe souffrir, prononcé avec une délectation de gourmet, son esprit se fixa de suite sur les étirements à la limite du supportable qui parcouraient ses cuisses son dos.

Soudain, les mains de lhomme se posèrent sur les fesses de Matthieu. Elles prirent immédiatement possession de lensemble, les massant brutalement. Puis le jeune homme sentit ses fesses être écartées, à lui en faire mal.

Hmmm. Parfait. Commençons cette petite leçon déducation .

Il se releva et après un temps qui parut fort long, abattit le martinet vers les fesses de Matthieu. Lorsque les lanières de cuir rencontrèrent sa chair, le garçon ne sentit pas de suite la douleur, mais poussa tout de même le cri de surprise habituel.

Deux autres fois, les lanières frappèrent ses fesses. La douleur vint, et Matthieu se mit à pleurer. Satisfait, lhomme augmenta son rythme et sattaqua systématiquement aux fesses qui lui étaient présenté. SWITCH ! SWITCH ! Les coups se succédèrent en travers des fesses. Le rythme augmenta et bientôt Matthieu neut plus aucun répit. Toutes ses fesses furent méticuleusement parcourut par les lanières du martinet.

Puis, leur hôte sattaqua aux reins du garçon. Il prit appui lourdement dune main sur la cuisse droite de Matthieu afin de redresser encore son bassin, et se mit à abandonner petit à petit les fesses pour remonter. Le haut des fesses, les reins et jusquaux lombaires rencontrèrent les vicieuses lanières de cuir.

Lhomme fit une pause, reprenant son souffle calmement tout en continuant à prendre appui sur Matthieu. Puis il dit :

Tenez, Jean-Charles, inversons nos positions. Vous veillez à ce quil garde sa position, je vais venir lui tenir le haut du corps.

Aussitôt dit, aussitôt fait, les deux hommes échangèrent leur position et bientôt Matthieu se retrouva enserré par les jambes de leur hôte. Celui-ci demanda alors à Jean-Charles de pousser vers lui son beau-fils au niveau des reins, ce qui fit que Matthieu se retrouva avec seulement les épaules qui touchaient encore tabouret.

Matthieu ne put voir le sourire triomphant de son bourreau, mais il sentit le premier coup. Il tomba sur sa cuisse gauche, lui arrachant de nouveau un cri déchirant. Encore une fois, le martinet sabattit, prenant cette fois-ci pour cible systématique les cuisses du garçon.

Mais sa surprise fut encore une fois totale quand soudainement les lanières rencontrèrent ses testicules. Ce nétait pas un accident, et elles recommencèrent dans la foulée. Son hurlement ne dérangea pas le moins du monde les deux hommes. Leur hôte susurra :

Voici un instrument adéquat de punition totale. Sur une base régulière et avec un bon martinet tout ce que ce garçon cache dans son slip peut être correctement corrigé.

Un slip ? Quel slip ? gloussa Jean-Charles. Il nen porte jamais . Et les deux hommes de sesclaffer bruyamment, pendant que le martinet continuait son oeuvre sur les bourses de Matthieu.

Matthieu, qui aurait pensé ne plus avoir de larmes à pleurer, réussit néanmoins à en retrouver de nouvelles réserves, qui se mirent elles aussi à glisser de ses yeux. Après une bonne quinzaine de coups supplémentaires, leur hôte sarrêta, et déclara :

Bien, voilà qui est fait, on peut maintenant passer à la dernière partie de la punition totale

Sur ce, savançant, il sassit sur la poitrine de Matthieu qui poussa un large soupir devant ce poids inattendu qui écrasait ses poumons. La main gauche de lhomme se posa sur les fesses du jeune homme, et se mit à les caresser doucement.

Leur chaleur indique que nous avons là des fesses correctement traitées.

Il descendit sur les cuisses.

Pareillement, les cuisses, bien chaudes, ont été parfaitement corrigées .

Il fit de même avec le dos.

Parfait .

Puis, il se saisit des testicules et du _s_e_x_e de Matthieu, les caressant longuement.

Excellent travail. La punition totale est presque terminée. Une dernière retouche et le tableau sera parfait .

Son pouce se posa alors délicatement sur lanus du garçon. Dans la position de Matthieu, les deux hommes pouvaient tranquillement jeter un regard complet sur la partie la plus intime de son corps. Aucune ombre nenvironnait ni ne cachait quoique ce soit.

Leur hôte expliqua à Jean-Charles :

Il nous faut enfin punir ce petit organe orgueilleux. Mais..... Les lanières ne sont pas linstrument idéal pour çà. En revanche.....Un martinet offre fort heureusement dans sa conception même une autre possibilité demploi adéquate.

Il prit alors le martinet, en enroula les lanières autour du manche en bois dur afin quelles ne le gênent en rien, puis le tint fermement dans sa main. Enfin, il labattit sèchement sur lanus du garçon.

Matthieu, qui nen pouvait plus, se remit à pleurer de plus belle avec un cri déchirant. De nouveau, le manche sabattit sur son anus, de nouveau la dureté du bois lui arracha un cri que la vague de douleur redoublait.

Le manche retomba. Encore, et encore. Jean-Charles regardait, fasciné, pressé de pouvoir lui aussi mettre en pratique aussitôt que possible, la punition totale .

Lhomme continua son ouvrage, frappant sans relâche lanus de Matthieu. Enfin, il sarrêta et dit fortement :

Et voilà ! Enfin il ne manque que ma signature au tableau .

Et sur ce, il posa le bout du manche du martinet sur lanus du garçon et ly enfonça.

Les deux hommes se reculèrent pour prendre le recul nécessaire à lappréciation de leur spectacle. Matthieu, anéanti, ne bougea pas dun pouce, offrant la vision de son corps cul par dessus tête, marqué par le martinet dans tout son milieu, le manche de linstrument profondément figé dans ses fesses.

Pendant que les deux hommes déjeunèrent, Matthieu fut enfin autorisé à se relever. Le martinet lui fut ôté par Jean-Charles, et il mangea lui aussi, sans sêtre rhabillé. La tension nerveuse, la douleur répétée lavait exténué.

Cest donc aux pieds de son beau-père, allongé à même le sol, quil sendormit pendant que les deux hommes prenaient leur café.

Quand il fut réveillé par Jean-Charles, tout lui revint en mémoire et il fut immédiatement sur ses gardes. Mais un chaleureux sourire de son beau-père le rassura quelque peu.

Tu as été obéissant, et je crois que tu mérites que laprès-midi te soit consacré. Nous passerons donc le reste de la journée au parc aquatique géant Supermarine, dont tu mas déjà vanté les mérites .


More stories by Cyrion