Une Situation Embarrassante


by Eustache

Javais 12 ans. Cétait lété, j'étais en vacances à la campagne. Je me baladais en forêt avec cinq copains.

Dans une clairière très reculée, Patrice sort de son sac une paire de menotte et, pour samuser, chacun les essaye.

Je suis le dernier et ils ne me détachent pas.

Allez, faites pas les cons, ouvrez ça ! Non tu es bien comme ça, tu es notre prisonnier. Non, mais ça va pas ! Attends, jai une idée. On va lattacher à un arbre. Aidez-moi.

Plusieurs mains me ceinturent et mentraînent contre larbre. Patrice enlève sa ceinture et avec, il attache mes menottes à une branche basse.

Je me retrouve debout, bras levés au-dessus de ma tête, attaché à une branche. Comme je rue et lance des coups de pied, Patrice et deux autres me maintiennent et baissent mon short.

Comme ça, tu as les chevilles entravées. Tu restes tranquille. Espèces de salauds, conards, détachez-moi. Mais cest quil nous insulte ! On va lui montrer.

Ils remontent mon tee-shirt au-dessus de ma tête. Je ny vois plus rien. Je suis en slip, à leur merci.

Je sens des mains me caresser le dos, le ventre, les cuisses. Je ressens, malgré la situation embarrassante, lexcitation monter.

Mais cest quil bande le vicieux !

Deux mains semparent de la ceinture de mon slip et le baissent.

Nooon ! Pas ça ! Non.... Ta gueule ! Tu es notre prisonnier, on a tout les droits.

Ils en profitent pour finir de me déshabiller : baskets chaussettes short et slip. Je me retrouve complètement nu, avec simplement mon tee-shirt autour de la tête qui maveugle, et ma bite de onze centimètres qui pointe fièrement devant moi. Je suis mort de honte.

Non ! Pitié ! Laissez-moi. Mais non, tu vois que tu aimes ça.

Une main se ferme sur ma queue et commence lentement à me branler. Une autre me tripote les couilles. Une troisième me caresse les fesses. Un doigt sinsinue dans la fente à la recherche de mon trou

Salauds, fumiers, bande de lâches.... On va lui faire payer ça. On va lui donner une fessée comme lui fait son père.

Ainsi, chacun leur tour, ils mont fait rougir le cul. Javais les fesses en feu mais je bandais encore plus.

Va couper une badine, demande Patrice, tout en continuent à me claquer le cul.

Au bout dun moment, les claques se sont arrêtées quelques instants puis, je ressens brutalement une douleur fulgurante, suivie dune douzaine dautres. Cest comme sils me fouettaient avec un fer rouge.

Voilà, tu as eu ton compte ? Détachez-moi. Non, tu es très bien comme ça. Démerde-toi. En plus, on emmène tes vêtements.

Et ils sont partis, me laissant nu, attaché, les fesses brûlantes que jaurai bien voulu pouvoir frotter pour atténuer la douleur et la queue bandée au maximum.

Jétais mort de honte, je me suis mis à pleurer.

Au bout de dix minutes, lun des copains est revenu me libérer.

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I was 12 years old. It was the summer, on holiday in the countryside. I trotted myself in forest with five buddies.

In a very moved back clearing, Patrice leaves his bag a pair of handcuffs and, to have fun, each one tests them.

I am the last and they do not detach me.

Go, made not the idiots, open that! Not you are well like that, you are our prisoner. Not, but that does not go! Wait, I have an idea. One will attach it to a tree. Help me.

Several hands girdle me and involve me against the tree. Patrice removes his belt and with, it attaches my handcuffs to a low branch.

I find myself upright, arms raised above my head, attached to a branch. Like I street and lance of the kicks, Patrice and two others maintain and lower my shorts to me.

Like that, you have the blocked ankles. You remainders quiet. Species of bastard, _d_a_m_n_ fool, detach me. But it is that it insults us! One will show him.

They raise my tee-shirt above my head. I see there nothing any more. I am in briefs, at their mercy.

I feel hands to cherish me the back, the belly, the thighs. I feel, in spite of the embarrassing situation, the excitation to go up.

But it is that it has a bone the vicious one! - But it is that it bandages the vicious one

Two hands seize the belt of my briefs and lower it.

Nooon! Not that! Non.... Your mouth! You are our prisoner, one has all the rights.

They benefit from it to finish stripping me: tennis shoes socks shorts and briefs. I find myself completely naked, with simply my tee-shirt around the head which plugs me, and my _c_o_c_k_ of eleven centimetres which points proudly in front of me. I died of shame.

Not! Pity! Leave me. But not, you see that you like that.

A hand is closed on my prick and slowly starts to shake me. Another me manipulate nuts. A third cherishes me the buttocks. A finger penetrates in the slit in the search of my hole.

Bastard, manure, band of coward.... One will make him pay that. One will give him a smacking like makes him his father.

Thus, each one their turn, they made me redden the bottom. I had the buttocks on fire but I had the bone even more.

Will cut a switch, Patrice request, all continue with me claquer of it the bottom. At the end of one moment, the blows hats stopped a few moments then, I brutally feel a fulgurating pain, followed by a dozen others. It is as if they whipped me with a red iron.

Here, you had your account? Detach me. Not, you are very well like that. You manage. Moreover, your clothing is taken along.

And they left, leaving me naked, attached, the extreme buttocks which I will have agreed to be able to rub to attenuate the pain and the tail in erection to the maximum.

I had died of shame, I started to cry.

At the end of ten minutes, one of the buddies returned to release me.


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